▲La science criminalistique combine les domaines de la science et du judiciaire. Les scientifiques qui travaillent dans ce milieu utilisent et analysent des preuves matérielles afin de résoudre des enquêtes.

▲Il existe plusieurs métiers dans ce domaine, tels que technicien de police technique et scientifique, ingénieur de police technique et scientifique ou encore technicien en identification criminelle.

▲L'anthropologue britannique Francis Galton a publié un ouvrage sur son modèle statistique d'analyse des empreintes en 1892. Grâce à Francis Galton, on sait aujourd'hui que la probabilité de croiser deux personnes avec des empreintes identiques n'est que d'une chance sur 64 milliards.

▲On doit l'utilisation des empreintes à des fins d'identification à l'officier britannique Sir William James Herschel, 2e baronnet de Collingwood. En 1858, alors qu'il était fonctionnaire en Inde, il a décidé de prendre les empreintes palmaires des personnes auxquelles il faisait signer des contrats afin d'éviter toute contrefaçon.

▲Selon le site internet Explore Forensics, le tout premier profile ADN a été dressé en 1992 pour tenter d'identifier les restes de la famille du tsar Nicolas II de Russie. Ses proches et lui furent assassinés en 1918 et enterrés sur le bord d'une route.

▲Surnommé le Sherlock Holmes français, le professeur Edmond Locard est à l'origine du tout premier laboratoire de police scientifique. Il a également développé le principe d'échange.

▲"Cas collectés d'injustices réparées" est un ouvrage écrit par Song Ci au XIIIe siècle. Il s'agit du plus ancien texte criminalistique au monde. Ce dernier rassemble des affaires criminelles s'étant produites à l'époque.

▲L'entomologie médico-légale se sert des insectes pour résoudre des crimes. Ceux-ci envahissent les c-davres et leur stade de développement permet aux scientifiques de déterminer la date de la mort. Des analyses plus poussées peuvent également permettre de repérer si le corps a été déplacé et si oui, de quel point d'origine.

▲Si l'on en croît Bustle, la première affaire résolue grâce à l'étude d'insectes s'est tenue en Chine, en 1247. Le meurtrier d'un homme assassiné à la faucille fut identifié lorsque des mouches ont commencé à s’agglutiner sur son arme, attirées par l'odeur du sang récemment essuyé.

▲Un individu qui tire à l'arme à feu présentera moins de résidus de poudre qu'une personne pénétrant la scène du crime juste après lui.

▲Notre ADN reste identique à travers le corps, qu'il provienne du sang, de la salive ou de la peau.

▲La structure osseuse d'un squelette humain permet aux policiers scientifiques de déterminer le s-xe de la victime.

▲L'effet "CSI" fait référence à la série "Les Experts", appelée "CSI" en anglais. Ce phénomène se produit, d'après les enquêteurs et les autorités judiciaires, quand des personnes regardent des séries policières.

▲Le fait est que les techniques employées dans ces séries influencent parfois les décisions des jurés. Ces derniers s'attendent bien souvent à recevoir davantage de preuves scientifiques qu'il est possible d'obtenir dans la vie réelle.

▲Le luminol est une substance chimique utilisée sur les scènes de crime pour identifier des traces de sang. Ce produit réagit au fer contenu dans l'hémoglobine en prenant une apparence bleue et fluorescente.

▲Les motifs dessinés sur la peau de vos pieds sont tout aussi uniques que ceux présents sur vos mains.

▲Les analyses de profilage ADN se focalisent sur une région précise de l'ADN, unique à chaque individu. C'est ce qui permet aux scientifiques d'identifier et de comparer plusieurs profiles ADN entre eux.

▲Dans le comté du Leicestershire, en 1985, Sir Alec Jefferys fut le premier à résoudre un crime grâce des analyses ADN.

▲En examinant les microbes contenus dans des résidus de terre prélevés sur des vêtements, il est possible de remonter jusqu'à une scène de crime.

▲La police scientifique est capable d'identifier un corps décomposé en analysant des dossiers dentaires.

▲Cette science est considérée comme le deuxième meilleur outil pour retrouver un coupable, après le témoignage oculaire. Cependant, les études ont montré que ce type de témoignage est très peu fiable en raison d'influences externes et cognitives, nous informe Simply Psychology.

▲Les techniciens de la police scientifique prélèvent des fibres sur la scène du crime, la victime ou le suspect pour faciliter l'enquête. Il n'existe que quatre types de fibre: végétale, minérale, animale ou créée par l'homme.

▲Au sein de cette sous-division, les enquêteurs analysent les recherches internet afin d'attraper des prédateurs ayant commis des crimes atroces. Par exemple, l'historique informatique des personnes qui ont perpétré des crimes s-xuels contient souvent des sites internet décrivant le même type de scénario employé lors de leurs méfaits.

▲Il s'agit de l'étude des empreintes de la peau, la plupart du temps des doigts et des pieds, bien qu'elle s'applique aussi à d'autres parties du corps.

▲L'ADN de plantes vieilles de 400 000 ans a été retrouvé dans la glace de Sibérie.

▲En 1980, le tout premier Système d'identification automatique par empreintes digitales, baptisé AFIS en anglais, a vu le jour.

▲Bien que cette matière ne soit pas toujours présente sur une scène de crimes, la paillette est la meilleure preuve matérielle qui existe. Elle se transfère facilement d'une personne à une autre, elle est difficile à repérer pour un criminel et elle ne se dégrade pas, rapporte Listverse.

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Lors d'une enquête scientifique, des chiens renifleurs peuvent être employés pour retrouver un c-davre. Ces animaux sont capables de reconnaître les substances chimiques libérées par un corps en décomposition, même dans l'eau.

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Les relevés d'empreintes sont employés depuis plus d'un siècle pour tenter de relier un suspect potentiel à un crime. Les empreintes connues sont comparées à celle du suspect en les plaçant côte à côte et en les observant à la loupe. Les procédés modernes ont rendu ce travail bien plus efficace et précis.

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Ce principe suggère que tout individu criminel laisse des traces de sa présence sur une scène de crime et emporte avec lui des traces du lieu où il se trouvait.

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Les techniques criminalistiques et scientifiques forment un outil moderne employé par les équipes judiciaires du monde entier. Se servir de la science au cours d'une enquête criminelle permet non seulement aux autorités d'élucider des crimes, mais aussi de prouver si oui ou non un individu est coupable.

Grâce aux images qui suivent, vous découvrirez des informations fascinantes sur le travail de la police scientifique, les origines de cette science et les différentes manières de résoudre une affaire! Alors cliquez sans plus attendre !