▲C'était donc plus fort que lui, aussi loin que l'on s'en souvienne, celui qui fut deux fois Président de la République, a toujours aimé et admiré les femmes, et ne s'en est jamais vraiment caché.

▲Très sociable, l'ex-Président était connu pour son sens inné des relations diplomatiques et... des relations tout court !

▲Son épouse semblait s'être rapidement fait une raison. Car de là où elle vient, la haute bourgeoisie, on ne fait pas de vagues et on ne perd jamais la face.

▲De nombreux témoignages attestent de ses conquêtes, notamment dans "Bernadette Chirac, les secrets d'une conquête" d'Erwan L'Éléouet et "Président, la nuit vient de tomber" d'Arnaud Ardoin, où on peut y lire les confessions de son confident de 40 ans, Daniel Le Conte. Enfin, on peut également citer les révélations d'André D., ancien chauffeur du couple présidentiel.

▲André D., 18 ans au service du couple, révèle à ce propos: "Madame Chirac aura passé sa vie entière à se sacrifier au nom de la cohésion familiale. Elle a toujours subi sans rien dire. Elle était très dure envers elle-même. Je ne l'ai jamais entendue se plaindre ni formuler aucune critique vis-à-vis de son sort. Dans ce milieu, le mot 'infidélité' ne veut rien dire".

▲Minutieux dans ses horaires, il était également discret. Son chauffeur, André D., raconte: "Impossible de savoir pour nous tout ce qui se passait dans les alcôves, notamment quand une journaliste s'enfermait à double tour avec lui dans son bureau."

▲Bernadette Chirac l'a admis sur France 2, dans le cadre du documentaire "Bernadette Chirac, mémoires d’une femme libre": "Beaucoup de femmes auraient voulu l’avoir". Et pourtant, elle savait déjà, bien avant son union avec celui qui allait être le chef de l'État français, qu'il était volage.

▲En effet, selon Gala, il aurait même été surpris en train de flirter avec une députée socialiste, en présence de Bernadette !

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À deux reprises, il a su charmer les Français et on peut le dire, surtout les Françaises. Celui qui a été deux fois le Président de la République a toujours eu un goût prononcé pour les femmes, dont il s'amourachait souvent, le temps d'un instant ou... bien plus longtemps !

Éternel séducteur, au charisme et à la stature imposante, ni fonctions de l'État, ni même sa femme, Bernadette, n'ont réussi à calmer ses ardeurs. "Elles sont députées, ministres, conseillères, bourgeoises provinciales", c'est ce que raconte dans son livre Arnaud Ardoin, sur les confessions de Daniel Le Conte, confident de Jacques Chirac.

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▲Dans son article, Marie Claire revient sur cinq femmes qui ont marqué la vie de l'éminent politicien. L'une d'elle est Michèle Barzach (droite), ancienne ministre de la Santé de 1986 et 1988, pour qui Chirac avait le béguin, puisqu'il disait d'elle qu'elle avait "beaucoup de charme", selon ce que révèlent les auteurs du livre "Sexus Politicus".

▲Si très peu d'articles ont été écrits au sujet de ses infidélités durant sa carrière politique, c'est que tout était extrêmement bien ficelé. On le surnommait "cinq minutes douche comprise", c'était parfois plus, c'était parfois moins, en tout cas, "Lorsqu'il avait rendez-vous avec une femme, c'était à la minute près."

▲Oui, être marié ne l'a jamais empêché de draguer, le faisant même sous le nez de sa chère et tendre.

▲Jacqueline Chabridon, dont vous pouvez lire la biographie dans Gala, est l'unique femme qui a donné l'envie à Jacques Chirac de divorcer. En 1975, cette ancienne journaliste du Figaro et le Premier ministre de l'époque s'éprennent l'un de l'autre, au point même qu'il loue un appartement à proximité de l'Élysée pour la retrouver.

▲Elle dira à propos des infidélités de son mari: "Les papillons tournaient autour de la lampe. Et j'en ai eu des inquiétudes et du chagrin même... Tous les hommes qui ont du pouvoir ou une très grosse fortune attirent les femmes. Au début, ça a été dur, j'ai eu beaucoup de chagrin. Puis après, je m'y suis faite. Je me suis dit que c'était la règle et qu'il fallait la subir avec autant de dignité que possible."

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Ce n'est cependant pas l'âge qui a assagi les ardeurs de Jacques Chirac, mais la maladie. Sa dernière apparition publique remontait à 2014, année de la remise du prix de sa fondation. Il a ensuite vécu reclus, prenant soin de sa santé, aux côtés de sa fidèle épouse, Bernadette, jusqu'à la fin et s'est éteint le 26 septembre 2019.

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▲Parmi ses conquêtes, "Il y a les régulières, les coups de cœur, les amuse-bouches qui réussissent à franchir les cordons de sécurité pour approcher le président, d'autres qui partagent le même avion que lui et qui attendent, n u e s, dans son espace privé, brûlantes de désir. Elles sont députées, ministres, conseillères, bourgeoises provinciales, des inconnues qu'on lui apporte sur un plateau...", comme raconte Daniel Le Conte, propos rapportés par Le Point.

▲Toujours selon Marie Claire, elle choisit ses cravates, relit ses interviews et lui fait répéter ses textes, bref, elle est très impliquée, tellement, qu'il se murmure que des sentiments auraient pu naître...

▲Même si les conquêtes se comptent par dizaines, il y a toujours eu qu'une seule madame Chirac. Ils ont été mariés 63 ans, envers et contre tout, ils ont eu ensemble 3 filles: Claude, Anh Đào et Laurence.

▲Il y est aussi dit, qu'un beau jour, Jacques Chirac se serait présenté avec "une heure de retard" et "tenant la main de Michèle Barzach".

▲Sur cet épisode, il a écrit dans ses "Mémoires" (parus en 2009 aux éditions Nil): "Ma mère (était) littéralement horrifiée à l'idée d'avoir une bru américaine qui roule en décapotable", comme le rapporte Femme Actuelle. Son voyage sera donc écourté, il revient en France, se fiance puis finalement épouse Bernadette en 1956.

▲En effet, dans le livre "Président, la nuit vient de tomber", Daniel Le Conte témoigne: "Des femmes qu'il chevauche sans plus de préliminaires, parce que le temps presse, parce que la quantité a pris l'ascendant sur la qualité."

▲On peut aisément dire qu'elle s'est résignée, acceptant de manière un peu fataliste, un destin qu'elle s'est finalement choisi.

▲Cependant, une femme de pouvoir et autre conquête qu'on lui attribue, soit Marie-France Garaud, lui aurait conseillé: "On ne divorce pas quand on veut atteindre les plus hautes fonctions", comme le rapporte Marie Claire. Le président en devenir se résigne et finira pas abandonner cette relation.

▲L'actrice mythique italienne a toujours démenti cette liaison, pourtant, les rumeurs allaient bon train. Jean-Claude Laumond, autre chauffeur de Jacques Chirac, expliquait dans son livre "Vingt-cinq ans avec lui", que le soir de la mort de Lady Di (1997), le président était injoignable et en bonne compagnie de...Claudia Cardinale.

▲Mais c'est une visite de Bernadette Chirac en Corrèze, en 1998, qui a mis de l'huile sur le feu concernant ces rumeurs. Mécontente de la présence de trop nombreux journalistes, elle s'est alors écriée: "Pourquoi toute cette presse ? Je ne suis pourtant pas Claudia Cardinale ou Gina Lollobrigida tout de même !", lapsus révélateur ou pique bien placée ?

▲Il rencontre Bernadette en 1951, mais en 1952, il rêvait déjà de voyages et d'aventures. Il s'en va donc aux États-Unis, où il s'éprend d'une Américaine, une dénommée "Florence". Amoureux, il désire se fiancer avec elle et l'annonce même à ses parents via carte postale. Sa mère, quant à elle, préfère Bernadette.

▲Charmeur et charismatique, Jacques Chirac a bel et bien toujours été volage, au grand dam de Bernadette.

▲Rien n'est certain concernant une pseudo relation avec Marie-France Garaud, conseillère à l'Elysée de 1969 à 1974. Elle prit sous son aile Jacques Chirac, qu'elle appréciait particulièrement.

▲Il aurait même tenté sa chance avec Brigitte Bardot, qui explique dans une interview pour Paris Match: "Il m’appelait sa "petite biche", me faisait un peu la cour et me déclarait que j’étais toute mignonne."