▲Bien-sûr, le manque de lubrification est susceptible d'occasionner des rapports douloureux.

▲Faire l'amour, seul ou en couple, est bénéfique pour l'érection. De nombreuses études se sont penchées sur le sujet, et elles sont unanimes, comme le précise le site e-sante.fr.

▲Faire l'amour régulièrement, soit une ou deux fois par semaine, encourage la production d'anticorps.

▲Les rapports intimes ont pour effet d'améliorer la lubrification intime des femmes, la circulation sanguine et l'élasticité du v-gin. Tous ces facteurs contribuent à une meilleure vie intime et à une libido en hausse.

▲Les muscles de la cavité pelvienne sont renforcés en faisant l'amour, ce qui permet également un meilleur contrôle des muscles de la vessie.

▲Faire l'amour favorise l'équilibre des taux de testostérone et d’œstrogènes, dont le dérèglement entraîne parfois des troubles de la santé.

▲Si vous n'êtes pas abstinent par choix, vous risquez de perdre confiance en vous dans de nombreux domaines.

▲Une vie intime saine est bénéfique pour votre cœur! Des études se sont penchées sur les effets des relations intimes sur les personnes atteintes de troubles cardiaques, et ont révélé que faire l'amour diminue les risques d'infarctus du myocarde. Quelle que soit votre pathologie, il est fortement recommandé d'évaluer votre résistance à l'effort, comme le préconise Le Figaro.

▲Les hommes qui éjaculent régulièrement, une fréquence définie à 21 fois par mois selon le site WebMD, seraient moins à risque de développer un cancer de la prostate.

▲Être connecté physiquement à son partenaire atténue le stress et l'anxiété. Faire l'amour permet aussi la libération d'endorphines, qui aident à réguler les autres hormones.

▲Au moment de l'org-sme, l'hypophyse libère une hormone appelée prolactine dans votre corps. En plus de participer activement à votre équilibre libidinal, elle procure une sensation de bien-être vous permettant de vous endormir plus facilement.

▲Faire l'amour développerait non seulement les capacités mentales, mais également la production de cellules par l'hippocampe, une partie du cerveau contribuant au fonctionnement de la mémoire.

▲Il y a cependant quelques points positifs. S'abstenir de relations intimes réduit le risque de développer des infections urinaires, car l'activité favorise l'introduction de bactéries au sein des voies génitales.

▲Les femmes de 50 ans et plus pourraient ressentir moins, voire peu, de sensations durant l'acte si elles ne le font pas régulièrement.

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Les org-smes et la stimulation vaginale sont susceptibles d'enrailler les douleurs chroniques du dos et des jambes. Par ailleurs, de nombreuses femmes ont signalé une diminution des crampes menstruelles, des douleurs liées à l'arthrite et même des maux de tête.

▲Bien que faire l'amour ne se substituera jamais à une véritable séance de sport, c'est favorable au cœur et fait travailler les muscles. Toutefois, vous ne brûlerez pas beaucoup de calories, seulement cinq par minute.

▲Aussi appelé "pollution nocturne", ce type d'org-sme est généralement la conséquence de rêves érotiques. Il se peut toutefois que votre corps ressente les effets du manque et tente de vous le communiquer.

▲Les hormones libérée pendant que l'on fait l'amour aident à réguler la motivation ainsi que la tolérance à la douleur.

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L'intimité partagée améliore la communication et le bien-être général du couple.

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Outre les effets négatifs de l'absence de rapports, une vie intime saine présente des avantages supplémentaires qui peuvent améliorer votre santé et votre bien-être général. En voici quelques exemples.

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Faire l'amour pendant la période de menstruation d'une femme permet de soulager les crampes liées aux règles.

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▲Faire l'amour permet d'harmoniser la production d'hormones et ainsi, de mieux contrôler son poids.

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Les chercheurs ont établi un lien entre les rapports intimes et la baisse de la tension artérielle. Une étude a montré que faire l'amour (et ne se toucher) tendrait à faire diminuer la tension artérielle.

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Le fait de ne pas faire l'amour régulièrement et la diminution du taux d’œstrogène dans l'organisme peuvent entraîner une réduction de la lubrification, comme le souligne Santé Magazine.

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Selon un centre de recherche spécialisé dans les habitudes du consommateur, la grande majorité des Américains s'estiment satisfaits de leur vie intime. L'étude indique que 79% des participants sexuellement actifs se disent généralement comblés dans ce domaine. Toutefois, des écarts significatifs sont à noter. En effet, les opinions concernant les rapports intimes divergent radicalement entre les hommes et les femmes, ce qui est susceptible de conduire à des relations déséquilibrées et à l'absence de plaisir intime. Ce ressenti est, en toute logique, universel. Alors comment notre corps réagit-il à cette sensation de manque ou à la baisse de libido ? Cliquez sur notre série d'images pour le découvrir !