Une enquête menée par le Bureau of Investigative Journalism a mis au jour une fuite de données provenant d'un important réseau de "hack-for-hire" (soit un réseau mondial de "hackers à louer"), révélant l'ampleur alarmante du piratage illégal ciblant des entreprises, des journalistes et des hommes politiques britanniques. Ces opérations étaient orchestrées par des sociétés de renseignement exploitant des cybercriminels à des fins clandestines.
Des reporters sous couverture ont recueilli les aveux sincères de pirates informatiques indiens sur leur commerce illicite et son influence considérable en Grande-Bretagne. Malgré des lois anti-piratage strictes au Royaume-Uni et en Inde, passibles de lourdes peines d'emprisonnement, les pirates ont fait preuve de confiance, soulignant l'impunité dont ils jouissent au sein de cette industrie souterraine.
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