© Reuters

Indignation - Le rapport a enragé les familles des victimes, affolées à l'idée qu'Airbus ne prenne pas ses responsabilités. Selon France Bleu, en 2011, le fabricant et Air France a été inculpé pour homicides involontaires.

© Reuters

Procès biaisé ? - En 2014, alors qu'Air France et Airbus étaient en plein conflit, l'enquête a été close.

© Reuters

Appel - Air France et les familles des victimes ont fait appel de la décision du juge d'instruction ayant demandé l'annulation d'un rapport favorable à Airbus.

© Reuters

Nouveau rapport - Le 20 décembre 2017, les experts ont remis leurs conclusions aux juges chargés de l'enquête.

© Reuters

Cause - Selon les conclusions des documents auxquels l'AFP a eu accès, la cause principale de cette tragédie est une perte de contrôle de l'appareil.

© Reuters

Perte de contrôle - L'équipage, ayant rencontré des difficultés avec le pilotage automatique, a fini par perdre le contrôle de l'appareil.

© Shutterstock

Erreur humaine - Le rapport confirme que le pilotage automatique était désengagé en raison du givrage des tubes de Pitot.

© Shutterstock

L'accident - Selon le rapport, c'est le givrage des tubes de Pitot qui est à l'origine de cette catastrophe.

© Reuters

L'accident - Le givre serait la cause de l'accident. C'est un élément clé de l'enquête. Ce dysfonctionnement s'est traduit par un changement de vitesse de l'appareil.

© Reuters

Responsabilité de l'équipage - Le rapport indique également que le manque de formation de l'équipage face à ces situations a participé à l'accident.

© Reuters

Cause principale - Le rapport souligne que le givrage des tubes est ce qui a déclenché la catastrophe.

© Reuters

Airbus - La seule accusation à laquelle Airbus doit répondre concerne le flou laissé dans ses documents, ainsi que dans les documents d'Air France, sur le fonctionnement de l'alarme.

© Reuters

Premier rapport - Le premier rapport, de 2012, blâmait les défaillances techniques et erreurs de l'équipage. L'enquête montrait également que les pilotes ne disposaient pas des informations nécessaires sur la conduite à tenir en cas de givrage des tubes.

© Reuters

Outrage - Dans une interview accordée à l'AFP, Danièle Lamy, présidente de l'association Entraide et solidarité AF447, a déclaré que les familles des victimes se sentaient lésées et en détresse.

© Reuters

Intouchable Airbus - Représentant environ 360 familles de victimes françaises, brésiliennes et allemandes, Danièle Lamy estimait que la défaillance des tubes de Pitot a été sous-estimée et donnait le sentiment qu'Airbus pouvait agir en toute impunité.

© Reuters

Tubes de Pitot - Les sondes de Pitot mesurant la vitesse de l'appareil se sont avérées défaillantes, givrant à haute altitude.

© Reuters

Pilotes sans défense - Danièle Lamy soulignait que dans ce genre d'accidents, les pilotes sont tenus responsables alors qu'ils ne peuvent se défendre.

© Reuters

Réactions probables - Ces découvertes risquent d'avoir de fortes conséquences sur les pilotes de lignes commerciales.

© Reuters

Préparation - Les partis mentionnés dans ce rapport ont eu deux mois pour y répondre et être entendus par les experts, avant la présentation du rapport final.

© Reuters

La catastrophe - Le 2 juin 2009, le ministre brésilien de la Défense, Nelson Jobim, a confirmé que le vol s'était abîmé dans l'océan Atlantique, au nord-est du pays.

© Reuters

Deuil - Le 2 juin, le vice-président brésilien, José Alencar, a déclaré trois jours de deuil national, en mémoire des victimes.

© Reuters

Solidarité - Le Président français de l'époque, Nicolas Sarkozy, se trouvait à Roissy-Charles de Gaulle pour accompagner les investigations.

© Reuters

Deux ans après... - Le 3 avril 2011, le BEA a annoncé détenir de nouveaux éléments concernant l'accident.

© Reuters

Nouvelles recherches - En plus des débris de l'avions, les corps de quelques victimes ont été retrouvés.

© Reuters

Retard - Selon les autorités, la première enquête concernant la tragédie a été retardée en raison du manque de témoignages et des défaillances radar.

© Reuters

Boîte noire - L'absence de boite noire, trouvée deux ans après l'accident (mai 2011), a ralenti l'enquête.

© Reuters

Pression - Le grand public et la presse ont critiqué les autorités françaises en charge de l'enquête pour sa lenteur.

© Reuters

Les victimes - L'avion comptait à son bord 228 passagers, y compris trois pilotes et neuf membres de l'équipage. Parmi eux, on compte un bébé, sept enfants ainsi que 82 femmes et 116 hommes.

© Reuters

Les victimes -

Selon la liste officielle publiée par Air France, la plupart des passagers était de nationalité française ou brésilienne.

Découvrez aussi: Quand les accidents d'avion redéfinissent la sécurité dans l'aviation

© Reuters