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Ses débuts au cinéma -

Raquel Welch a fait ses débuts au cinéma en 1964, dans le film "La Maison de madame Adler", où elle incarnait le rôle d'une prostituée.

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"L'Homme à tout faire" (1964) -

La même année, elle a joué aux côtés d'Elvis Presley dans "L'Homme à tout faire", dans le rôle d'une étudiante. Sur cette photo, Elvis est entouré des actrices du film: Joan Freeman, Sue Ane Langdon, et Raquel Welch (deuxième en partant de la droite).

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"A Swingin' Summer" (1965) -

Elle avait partagé l'affiche dans la comédie musicale "A Swingin' Summer". À cette époque, ses courbes généreuses et son sourire commençaient à se faire remarquer. Peu après ce film, elle a accepté un contrat non exclusif de sept ans, prévoyant cinq films sur les cinq années à venir, et deux optionnels. 

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"Le Voyage fantastique" (1966) -

Elle avait alors interprété Cora Peterson dans le film de science-fiction "Le Voyage fantastique", qui avait reçu de nombreuses éloges.

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Une vraie pin-up -

Au cours des années 1960, Raquel Welch était une véritable sex-symbol. Et un film allait consolider cette réputation pour les dix années suivantes.

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"Un million d'années avant J.C." (1966) -

En 1966, Raquel Welch était à l'affiche du film d'aventure anglais "Un million d'années avant J.C.". Les scènes en extérieur avaient été filmées à Lanzarote et Tenerife, dans les îles Canaries, mais cela aurait pu être la lune... Peut importait, car tous les yeux étaient tournés sur le bikini en fourrure de l'actrice!

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Le maillot de bain en fourrure -

L'actrice portait un maillot de bain fait de peau et de fourrure, qui avait peu après était décrit comme "le look des années 1960". Après ce film, Raquel Welch est devenue une pin-up à succès, car cela a fait d'elle l'une des principales sex-symboles de l'époque.

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"Une fille nommée Fathom" (1967) -

C'est avec "Une fille nommée Fathom" que Raquel Welch a eu son premier rôle principal. Le film avait reçu des critiques mitigées, et le magazine Los Angeles Times avait insisté sur le fait que l'actrice ne pouvait pas jouer, et qu'elle était née pour être photographiée. Le New York Times, quant à lui, avait déclaré que l'actrice "avait appris à jouer".

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"La bande à César" (1968) -

Dans la seconde moitié des années 1960, elle est apparue dans de nombreux films italiens, aux côtés entre autres de Marcello Mastroianni et Claudia Cardinale. En 1968, elle a partagé l'affiche avec Robert Wagner et Edward G. Robinson dans "La bande à César", un film policier se déroulant à Naples. Plus tard, Edward G. Robinson avait dit en riant : "Je dois dire qu'elle a un sacré corps. Elle a été le produit d'une bonne campagne de publicité. J'espère qu'elle sera à la hauteur, car un corps ne mène pas loin".

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Toujours occupée -

Elle a aussi joué dans "Fantasmes" (1967), avec le duo d'humoristes anglais Peter Cook et Dudley Moore; puis dans "Bandolero!" (1968) où elle partageait l'affiche avec James Stewart et Dean Martin (photo).

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"La Femme en ciment" (1968) -

Dans "La Femme en ciment", elle tombait amoureuse de Frank Sinatra. "Je crois que j'étais tellement amoureuse de Frank Sinatra, vous savez. Il est hypnotique", dira Raquel Welch plus tard, en se souvenant de l'époque où elle travaillait avec le légendaire artiste.

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"Les Cent Fusils" crée une polémique -

"Les Cent Fusils" est un western relativement médiocre de 1969. Il avait fait polémique à l'époque parce qu'il comprenait une scène d'amour entre Raquel Welch et Jim Brown (en photo) qui entravait le tabou hollywoodien sur le métissage à l'écran. Le film est également tristement célèbre pour une autre scène dans laquelle l'actrice distrait les soldats dans un train, en prenant une douche dans un château d'eau le long des voies. Le réalisateur du film, Tom Gries, s'était efforcé de convaincre Raquel Welch de jouer cette scène nue, ce qu'elle avait refusé. Plus d'une fois l'actrice a du faire face à des demandes comme celle-ci.

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Encore des polémiques -

Raquel Welch a démarré les années 1970 comme elle avait quitté les années 1960... En faisant polémique. En 1970, elle a joué dans "Myra Breckinridge", un film qui retrace les exploits de Myra (née Myron) qui est une femme transgenre qui a subit une opération de réassignation de sexe.

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"Myra Breckinridge" (1970) -

Cette photo où l'on voit John Huston, Mae West, et Rex Reed avait fait polémique également pour ses sous-entendus à caractère sexuel et pour la promotion de la bisexualité. Échec commercial et critique, Raquel Welch a admis des années plus tard que "la seule bonne chose dans [le film] était les vêtements".

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"Femme la plus désirée" -

Malgré les critiques négatives reçues pour "Myra Breckinridge", son apparence et sa célébrité ont conduit le magazine Playboy à la surnommer "la femme la plus désirée" des années 1970.

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"Un colt pour trois sa lopards" (1971) -

Dans ce film réalisé par Burt Kennedy, Raquel Welch est devenue la première femme à s'imposer dans les westerns. Quelques années plus tard, Quentin Tarantino avait indiqué que "Un colt pour trois sal-pards" l'avait inspiré pour "Kill Bill".

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"Kansas City Bomber" (1972) -

Le drame sportif "Kansas City Bomber" a mené l'actrice dans le monde du roller, où elle incarne une membre d'une ambitieuse équipe de roller. Considérée comme l'une des premières apparitions au cinéma de Jodie Foster, le film avait été bien accueilli, et Raquel Welch avait indiqué que c'était son premier film qu'elle appréciait vraiment.

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Golden Globe -

Raquel Welch avait remporté le Golden Globe de la meilleure actrice dans le film "Les Trois Mousquetaires" (1973), basé sur le roman d'Alexandre Dumas. On la voit sur cette photo avec Michael York, dans le rôle de d'Artagnan.

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"Le Prince et le Pauvre" (1977) -

L'actrice était sublime dans le rôle de Lady Edith, dans le film de Richard Fleischer "Le Prince et le Pauvre". À la fin des années 1970, l'actrice a commencé à ralentir sa carrière au cinéma, même si elle participait à diverses émissions de télévision, notamment "The Muppet Show", "Mork & Mindy" et "Saturday Night Live".

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Un second musical (1981) -

L'actrice a très bien démarré la nouvelle décennie. En 1981, elle était à l'affiche d'un musical présenté à Broadway, et avait reçu des éloges pour avoir remplacé Lauren Bacall dans le rôle principal.

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Rupture de contrat -

En 1982, Raquel Welch devait être la vedette du drame "Rue de la sardine", mais elle avait été licenciée par les producteurs quelques semaines après le début du tournage. Le studio avait prétendu qu'elle était revenue sur son contrat en refusant les répétitions matinales. Elle avait alors été remplacée par Debra Winger. Raquel Welch avait poursuivi la MGM en justice pour rupture de contrat. Le témoignage de l'actrice lors du procès avait prouvé qu'il y avait eu une conspiration pour la blâmer faussement, pour des problèmes de budget et des retards. Le jury s'était rangé du côté de l'actrice, et elle avait remporté 10,8 millions de dollars de compensation par MGM, en 1986.

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"Droit de mourir" (1987) -

Dans "Droit de mourir", l'actrice a interprété le rôle d'une psychologue atteinte de la maladie de Lou Gehrig (Charcot), et qui décide de mettre fin à ses jours en voyant la maladie prendre de l'ampleur. C'est l'un des films dont elle est la plus fière, et pour lequel elle avait été nominée au Golden Globes pour sa performance. Sur cette photo, on la voit lors d'une conférence de presse, devant l'affiche du personnage qu'elle incarne.

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Son étoile à Hollywood -

En 1994, Raquel Welch a reçu son étoile qui se situe au 7021 sur Hollywood Boulevard.

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HairUWear -

En femme d'affaires, Raquel Welch a créé sa ligne de perruques avec la marque HairUWear. En 2005, et pour célébrer les 65 ans de l'actrice, son association a reversé l'équivalent de 1 million de dollar de perruques à la lutte contre le cancer.

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Une icone de beauté -

En janvier 2007, alors âgée de 67 ans, Raquel Welch est devenue l'égérie de la marque de maquillage MAC Cosmetics.

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Chanteuse ? -

Saviez-vous que durant de nombreuses années, la star chantait dans un club de Las Vegas ? En 1987 elle embrassait une carrière de chanteuse pop et avait sorti le single "This Girl's Back in Town", qui avait atteint la 29ème place du classement Billboard dans la catégorie dance club. 

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"How to Be a Latin Lover" (2017) -

Approchant les 80 ans, Rachel Welch était toujours présente au cinéma ou à la télévision. Son dernier grand écran remonte à 2017, avec "How to Be a Latin Lover". On la voit ici lors de la présentation du film, aux côtés de l'acteur mexicain Eugenio Derbez.

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Un "heureux malentendu" -

Parlant de son image, l'actrice avait commenté "Je n'ai pas été élevée pour être un sex-symbol, ni pour en devenir un. Le fait que j'en sois devenu un est probablement le plus beau, le plus glamour et le plus heureux des malentendus".

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