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L'affaire Benalla - L'affaire Alexandre Benalla a été déclenchée en juillet 2018 après que Le Monde ait publié une vidéo où l'on découvre un collaborateur de Macron commettre des violences sur un manifestant.

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L'affaire Benalla - Suite à cette révélation, de nombreux scandales éclatent: selon Mediapart, Alexandre Benalla aurait continué d'utiliser un passeport diplomatique pour voyager après son licenciement.

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L'affaire Benalla - Le 31 janvier 2019, l'affaire repart de plus belle après que Mediapart ait dévoilé l'enregistrement d'une conversation entre Alexandre Benalla et Vincent Crase, dans lequel Benalla se vante d'être soutenu par "le patron", à savoir Emmanuel Macron.

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L'affaire Benalla -

En février 2019, une autre enquête Mediapart révèle qu'Alexandre Benalla a fait affaire avec un autre oligarque russe, Iskander Makhmudov, ainsi que Vincent Crase, ex-gendarme et employé de LREM. 

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L'affaire Benalla -

Toujours en février 2019, le parquet national financier ouvrira une enquête préliminaire pour connaître la nature d'un contrat qui impliquait Alexandre Benalla, Vincent Crase et Iskander Makhmudov, dont le montant s'élèverait à 294 000 euros et qui, selon Mediapart, était illégal et relève de la corruption. Via ce contrat, Benalla était impliqué dans "la protection des biens immobiliers en France de l’homme d’affaires, et de sa famille à Monaco", comme le souligne France24.

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L'affaire Benalla -

Le 19 février 2019, Alexandre Benalla sera placé en détention provisoire pour ne pas avoir respecter son contrôle judiciaire, dans le cadre des faits de violence sur les deux manifestants du 1er mai 2018. En mars 2019, ce sera le sénat qui saisira le parquet contre Benalla, Vincent Crase et trois collaborateurs de l'Élysée pour ne pas avoir dit la vérité lors de leurs auditions à la chambre haute. Au fur et à mesure que les années passent, l'histoire prend de plus en plus d'ampleur pour Alexandre Benalla.

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L'affaire Benalla -

Le 13 septembre 2021, il sera jugé, aux côtés de Vincent Crase, pour "violences volontaires en réunion" et "immixtion sans titre dans l'exercice d'une fonction publique". Deux fonctionnaires de la préfecture de police de Paris seront aussi jugés pour pour avoir transmis des images de vidéosurveillance à Alexandre Benalla, après les faits de violences exposés, comme l'écrit l'Express. Alexandre Benalla n'est pas au bout de ses peines, car 6 enquêtes judiciaires le visent au total.

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L'affaire Pegasus -

Le 18 juillet 2021 éclate une affaire de cyberespionnage impliquant un logiciel appelé "Pegasus", créé par la société de surveillance israélienne NSO, qui compterait 40 États utilisant leur service. Dans le cadre de cette affaire, révélé par Forbidden Stories, les numéros d'Emmanuel Macron, de plusieurs politiciens et journalistes français étaient cités sur un document afin d'être cibles de surveillance. 

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L'affaire Pegasus -

Comme reprend Paris Match, selon un consortium de médias associés à Forbidden Stories, la classe politique française constituait un grand intérêt par le Maroc, utilisateur du logiciel Pegasus. Toutefois, un communiqué de presse de l'État marocain a nié toute implication: "Le Royaume du Maroc condamne vigoureusement la persistante campagne médiatique mensongère, massive et malveillante, évoquant une prétendue infiltration des appareils téléphoniques de plusieurs personnalités publiques nationales et étrangères à travers un logiciel informatique."

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L'affaire Pegasus -

Edwy Plenel, journaliste et fondateur de Mediapart, avait déclaré le 19 juillet 2021: "En 2019 et 2020, les téléphones portables de nos journalistes Lénaïg Bredoux et Edwy Plenel ont été infectés par le logiciel espion Pegasus, actionné par des services secrets marocains. Nous déposons plainte aujourd'hui même." Ce qui met a mal l'innocence des services secrets marocains dans le cadre d'un potentiel cyberespionnage ciblant l'Élysée.

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L'affaire Pegasus -

Le logiciel d'espionnage a été notamment utilisé par l'Arabie saoudite pour surveiller des proches du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, qui a été assassiné au consulat d’Istanbul, en octobre 2018, un assassinat commandité par le pouvoir saoudien.

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L'affaire Pegasus -

Une source sécuritaire avait confié à l'AFP que "les paramètres de sécurité sont les plus restrictifs possibles et les installations d’applications et téléchargements sont bloquées" et Gabriel Attal avait assuré que :"les téléphones (du président) sont changés régulièrement. Il y a un certain nombre de paramètres de sécurité qui protègent, qui sont changés très régulièrement. Il y a des protections qui sont faites", comme le rapporte Paris Match.

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Le salaire de Chantal Jouanno - Juste avant que l'affaire Benalla reprenne, le gouvernement de Macron a été touché par une nouvelle polémique: celle du salaire de Chantal Jouanno, présidente de la Commission nationale du débat public.

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Le salaire de Chantal Jouanno - En pleine crise Gilet jaune, elle est choisie pour organiser "le grand débat national". Mais début janvier, le site La Lettre A révèle que l'ex ministre toucherait 14 700 euros bruts par mois. Face au scandale que suscite cette révélation, elle décide de se retirer du projet.

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Penelopegate -

Début 2017, la campagne présidentielle de François Fillon prend un autre tournant quand "Le Canard enchaîné" révèle des soupçons d'emplois fictifs, dont aurait bénéficié la femme de François Fillon, Penelope Fillon. 

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Penelopegate - L'affaire, encore en cours, a suscité un vrai séisme en pleine campagne présidentielle.

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L'affaire Trierweiler - En 2014, l'ex-Première dame, alors séparée de François Hollande, fait des révélations choc dans son livre "Merci pour ce moment".

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L'affaire Trierweiler - Elle affirme notamment dans son livre que François Hollande "n'aime pas les pauvres", qu'il nommerait en privé "les sans-dents". Des déclarations qui avaient suscité une onde de choc.

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L'affaire Julie Gayet - En janvier 2014, le magazine people "Closer" dévoile en Une la liaison entre François Hollande, alors président de la République, et l'actrice Julie Gayet.

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L'affaire Julie Gayet - À l'époque, la révélation de leur liaison avait fait grand bruit. Aujourd'hui, le couple n'hésite plus à s'exposer ensemble.

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L'affaire Cahuzac - En 2012, le site Mediapart accuse Jérôme Cahuzac, alors ministre délégué au Budget, d'avoir détenu un compte non déclaré en Suisse, déplacé ensuite à Singapour.

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L'affaire Cahuzac - S'en suivent des déclarations où le Ministre dément les affirmations de Mediapart, puis des aveux et enfin un mea-culpa en 2013.

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L'affaire Bygmalion -

Lors de la campagne présidentielle de 2012, l'UMP fait organiser ses meetings par l'agence Bygmalion. Le parti sera alors soupçonné "d'avoir demandé à Bygmalion de réaliser des fausses factures pour pouvoir mener sa campagne sans dépasser le plafond autorisé par la loi", comme le rappelle Le Parisien.

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L'affaire Bygmalion - Depuis l'éclatement de l'affaire, Nicolas Sarkozy a "multiplié les recours pour échapper au procès", comme affirmait Le Nouvel Obs en mai 2018.

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L'affaire DSK - C'est l'un des scandales les plus médiatisés de la Ve République. En mai 2011, Dominique Strauss-Kahn, alors patron du FMI, est accusé d'agression s e x u e l l e par une femme de chambre du Sofitel de New York, Nafissatou Diallo.

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L'affaire DSK - L'affaire fit la Une de la presse française et internationale.

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L'affaire DSK - À la suite de ce feuilleton judiciaire, les deux parties mettront fin aux procédures en s'accordant sur un arrangement financier dont le montant restera confidentiel.

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L'affaire DSK - Quelques semaines après le scandale du Sofitel, la journaliste Tristane Banon porte plainte contre DSK pour tentative de viol, comme le rappelle BFMTV. Une plainte qui sera classée sans suite.

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L'affaire Sarkozy-Kadhafi -

En 2012, le site Mediapart diffuse un document laissant penser que le régime de Kadhafi aurait financé la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007, à hauteur de 50 millions d'euros.

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L'affaire Sarkozy-Kadhafi - Cette affaire de financement libyen a valu à Nicolas Sarkozy une mise en examen et un placement sous contrôle judiciaire en mars 2018, comme affirme La Dépêche.

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La grossesse de Rachida Dati - En 2009, la vie privée de Rachida Dati, alors Garde des Sceaux au sein du gouvernement de Nicolas Sarkozy, est au cœur de l'attention des Français.

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La grossesse de Rachida Dati - L'identité du père de sa fille, à qui elle a donné naissance en 2009, reste inconnue et la Ministre reprend ses fonctions 5 jours après son accouchement. Autant d'éléments qui ont fait d'elle la proie de la presse people début 2009.

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L'affaire Clearstream - Cette affaire, qui a secoué l'État en 2004, est particulièrement complexe. Le scandale remonte à 2001, puis prend un nouveau tournant en 2004, lors de la diffusion d'une prétendue liste de personnalités qui auraient des comptes occultes au sein d'un établissement financier luxembourgeois, Clearstream.

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L'affaire Clearstream -

L'affaire a impliqué de nombreuses personnalités comme Dominique de Villepin, soupçonné à l'époque "d'avoir su que le listing était une forgerie", comme le rappelle Les Inrocks.

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L'affaire Clearstream - Extrêmement médiatisée, l'affaire a même donné lieu à un film, "L'Enquête", sorti en 2015.

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L'affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris - En 2004, Alain Juppé, alors ancien secrétaire général du RPR et ex-adjoint aux finances à la Mairie de Paris, est condamné à 18 mois de prison avec sursis et 10 ans d'inéligibilité pour avoir "couvert la rémunération par la Ville de sept personnes qui travaillaient en réalité pour le parti gaulliste", comme rappelle le Nouvel Obs.

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L'affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris - Sa sanction sera finalement revue en appel et ramenée à 14 mois avec sursis et un an d'inéligibilité.

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Mazarine Pingeot - En 1994, les Français découvrent dans les colonnes de Paris Match une photo de François Mitterrand aux côtés de sa fille, Mazarine Pingeot, âgée de 20 ans et encore inconnue des Français.

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Mazarine Pingeot - Les Français découvrent alors cette fille cachée, qui assistera aux obsèques de son père, en janvier 1996.

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L'affaire du sang contaminé - C'est l'un des plus gros scandales sanitaires français: en 1985, des lots de sang contaminé sont distribués à des malades hémophiles par transfusion. France Inter révélera plus tard que plusieurs milliers de personnes se sont retrouvées infectées par des maladies "et plusieurs centaines de personnes contaminées, elles, par le virus du SIDA."

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L'affaire du sang contaminé - L'affaire éclate en 1991 par l'intermédiaire de la presse. Deux ministres de l'époque, Laurent Fabius et Georgina Dufoix, ainsi que le secrétaire d'Etat à la santé Edmond Hervé, sont mis en examen, comme le rappelle Libération.

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L'affaire du sang contaminé -

En 1999, les trois anciens membres du gouvernement comparaissent devant la justice, en présence de victimes. Laurent Fabius et Georgina Dufoix seront relaxés et Edmond Hervé sera lui "condamné mais dispensé de peine", comme affirme Libération.

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L'affaire des diamants de Bokassa -

En 1979, "Le Canard enchaîné" révèle que des diamants d'une valeur d'1 million de francs auraient été offerts au ministre des Finances de l'époque, Valéry Giscard d'Estaing, par le président de la République centrafricaine, Jean-Bedel Bokassa.

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L'affaire des diamants de Bokassa -

Or "Le Canard enchaîné" met en avant une négligence du Ministre dans la déclaration de ces diamants à la douane. À l'époque, VGE s'est très peu exprimé sur l'affaire, ce qui, selon L'Express, l'aurait "handicapé" dans sa campagne présidentielle de 1981.

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