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Volodymyr Zelensky -

"Un dictateur sans élections".

En février 2025, Trump a renforcé ses attaques contre Zelensky, le qualifiant de "dictateur" en raison du report des élections, justifié par le contexte du conflit en cours.

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Volodymyr Zelensky -

Cette déclaration a suscité une vive réprobation de la part des alliés internationaux, qui ont réaffirmé la légitimité démocratique de Zelensky et dénoncé les propos de Trump, les qualifiant de trompeurs et nuisibles à la souveraineté de l'Ukraine.

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Mette Frederiksen -

"J’étais enthousiaste à l’idée d’y aller, mais j’ai trouvé désagréable que la Première ministre qualifie cela d’absurde". 

En 2019, après que la Première ministre danoise a rejeté la proposition de Trump d’acheter le Groenland, ce dernier a jugé ses propos "méchants" et a annulé sa visite d’État.

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Mette Frederiksen -

En 2025, Donald Trump a remis le sujet sur la table, ravivant les débats sur les intérêts stratégiques des États-Unis dans cette région arctique.

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Vladimir Poutine -

"S'il dit du bien de moi, je dirai du bien de lui".

Lors de sa campagne en 2016, Donald Trump a multiplié les éloges à l’égard de Vladimir Poutine, le décrivant comme un leader puissant. Ces déclarations ont suscité la controverse, notamment face aux accusations d’ingérence russe dans l’élection présidentielle américaine.

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Vladimir Poutine -

En 2025, les délégations américaine et russe auraient engagé des discussions directes sur la guerre en Ukraine, sans inclure l'UE ni l'Ukraine. Cette absence de concertation avec les principaux concernés a suscité des inquiétudes parmi les alliés, qui craignent des négociations menées sans toutes les parties prenantes essentielles.

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Kim Jong-un -

"Nous sommes tombés amoureux".

Après leur sommet historique en 2018, Trump a qualifié sa relation avec Kim Jong-un de particulièrement chaleureuse, évoquant les "belles lettres" qu'ils s'étaient échangées et affirmant qu'ils avaient développé une forme de complicité.

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Kim Jong-un -

Ce revirement tranche avec les tensions précédentes, marquées par un échange de menaces, Trump allant jusqu’à surnommer Kim Jong-un "little rocket man" (l’homme à la petite fusée).

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Xi Jinping -

"Il est maintenant président à vie. Président à vie. Non, il est formidable".

En 2018, après que la Chine ait décidé de supprimer la limite des mandats présidentiels, Trump a réagi en félicitant Xi Jinping pour son mandat prolongé, le qualifiant de remarquable.

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Xi Jinping -

Donald Trump a même plaisanté sur la possibilité pour les États-Unis d'adopter une approche similaire, ce qui a suscité l'inquiétude des critiques attachés aux principes démocratiques.

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Justin Trudeau -

"Très malhonnête et faible".

Suite au sommet du G7 de 2018, Donald Trump a utilisé X (anciennement Twitter) pour attaquer le Premier ministre canadien au sujet des différends commerciaux, ce qui a intensifié les tensions entre les deux dirigeants.

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Justin Trudeau -

La tension est née des commentaires de Trudeau lors d'une conférence de presse, que Trump a interprétés comme un affront.

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Angela Merkel -

"Oh, nous ferons un accord avec l'Europe alors".

C'est ce qu'a finalement déclaré Donald Trump après avoir rejeté onze fois une explication, selon un fonctionnaire allemand. La chancelière allemande Angela Merkel a dû clarifier à plusieurs reprises les accords commerciaux de l'UE avant que Trump ne reconnaisse le concept.

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Angela Merkel -

Cependant, son acceptation finale a contredit sa position précédente, qui favorisait les accords commerciaux bilatéraux plutôt que les accords multinationaux de grande envergure.

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Emmanuel Macron -

"Il n'y a pas de pays plus nationaliste que la France, les gens veulent s'accrocher à leur propre culture".

En 2018, Trump a tweeté ces mots en commentant les mouvements nationalistes mondiaux, citant la France comme exemple et suggérant que les politiques de Macron reflétaient un désir de préserver l'identité nationale.

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Emmanuel Macron -

Donald Trump a aussi exprimé son mécontentement envers Emmanuel Macron en évoquant sa "très faible cote de popularité" et en accusant la France de recourir à des "pratiques commerciales déloyales".

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Shinzo Abe -

"Il m'a proposé pour le prix Nobel de la paix".

En 2019, Donald Trump a déclaré que le Premier ministre japonais l'avait recommandé pour cette prestigieuse distinction, soulignant ses efforts pour engager la Corée du Nord sur la voie diplomatique.

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Shinzo Abe -

Bien que cette nomination n'ait jamais été officiellement confirmée, elle a suscité l'attention internationale sur l'approche peu traditionnelle de Donald Trump en politique étrangère.

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Boris Johnson -

"On l'appelle le Trump britannique. Ils disent que c'est une bonne chose. Les gens m'aiment bien là-bas".

En 2019, Trump a exprimé son admiration pour le nouveau Premier ministre britannique, en comparant leurs approches politiques.

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Boris Johnson -

Donald Trump voyait le leadership de Boris Johnson comme un progrès, notamment en ce qui concerne le Brexit.

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Nicolás Maduro -

"C'est un régime qui, franchement, pourrait être renversé très rapidement par l'armée si celle-ci décidait de le faire".

En 2019, Trump a abordé la crise politique au Venezuela, et suggéré que le gouvernement de Maduro était vulnérable.

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Nicolás Maduro -

Il a laissé entendre que les États-Unis pourraient agir pour favoriser un changement de régime, conformément à la reconnaissance de Juan Guaidó en tant que leader de l'opposition par son administration.

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Theresa May -

"J'ai donné des conseils à Theresa May, mais elle ne m'a pas écouté et n'était pas d'accord".

Trump a critiqué la gestion des négociations du Brexit par l'ex-première ministre britannique en 2018, suggérant que ses recommandations avaient été ignorées.

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Theresa May -

Donald Trump a suggéré qu'une autre approche aurait pu mener à de meilleurs résultats, soulignant ainsi son scepticisme envers les accords multilatéraux.

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Rodrigo Duterte -

"De nombreux pays ont le problème, nous avons un problème, mais quel excellent travail vous faites et je voulais juste vous appeler pour vous le dire".

Lors d'un appel téléphonique en 2017, Donald Trump a salué la campagne antidrogue controversée de l'ex-président philippin Rodrigo Duterte, lui exprimant son admiration malgré les condamnations internationales pour violations des droits de l'homme.

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Rodrigo Duterte -

Cette éloge a créé des inquiétudes sur la position des États-Unis en matière de droits de l'homme sous l'administration Trump.

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Moon Jae-in -

"Ils ne font rien sans notre accord".

En 2018, Trump a suggéré que les initiatives diplomatiques de la Corée du Sud avec la Corée du Nord étaient étroitement coordonnées avec les États-Unis.

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Moon Jae-in -

Cette remarque a minimisé l'impact de Moon Jae-in dans la promotion du dialogue intercoréen, tout en renforçant l'idée de la domination américaine dans les affaires régionales.

Sources : (BBC) (The Guardian) (CNN) (ABC News) (Vox)

Voir aussi : Trump : l'impact de son style unique sur la scène politique

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