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La santé mentale d'abord -

La génération Z révolutionne la notion de congé maladie en mettant l'accent sur l'importance de la santé mentale. Contrairement aux générations précédentes, elle reconnaît que le stress, l'anxiété et l'épuisement sont des raisons tout aussi légitimes que les maladies physiques pour s'accorder du temps de repos.

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Fixer des limites -

La génération Z prend les rênes en fixant des limites claires à leur vie professionnelle. Ils redéfinissent le concept de congé maladie en promouvant une approche proactive du bien-être centrée sur la prévention, bouleversant ainsi les codes du monde du travail.

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Soins préventifs -

La génération Z n'hésite pas à prendre un jour de repos dès les premiers signes de maladie, préférant prévenir plutôt que guérir. Contrairement à leurs aînés, ils mettent leur santé sur le long terme au premier plan, refusant de sacrifier leur bien-être pour le travail.

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Les congés maladie -

Si l'on prend l'exemple des États-Unis, les congés maladie pris par les employés ont bondi de 55 %, contre seulement 26 % en 2019. Cette augmentation est largement attribuable à la pandémie, qui a sensibilisé davantage les gens à l'importance de leur santé et à la nécessité de prendre du repos lorsqu'il le faut.

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Mener le changement -

Parmi toutes les tranches d'âge, ce sont les travailleurs de la génération Z (notamment ceux âgés de 25 à 34 ans) qui prennent le plus de congés maladie, dépassant ainsi leurs aînés. Les engagements professionnels passent progressivement au second plan, laissant la priorité à la santé et au bien-être personnel.

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Les congés sabbatiques - Les travailleurs de la génération Z ne se limitent plus aux simples congés maladie, mais privilégient aussi les pauses prolongées et les congés sabbatiques. Ce sont surtout les 22-26 ans qui sont les plus susceptibles de prendre du temps libre sur de plus longues périodes.

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Le présentéisme -

La génération Z s'attaque également au "présentéisme", cette habitude qui pousse les employés à venir travailler même en étant malades. En plus de nuire à leur propre productivité, cela rallonge leur temps de rétablissement et met en danger la santé de leurs collègues, tout en impactant négativement la performance globale.

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Les risques -

Travailler en étant malade peut entraîner des conséquences néfastes à long terme sur la santé et la productivité. Non seulement cela prolonge la durée de la maladie et dégrade la qualité du travail, mais cela finit par pénaliser autant l'employé que l'entreprise.

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Le télétravail -

La génération Z est l'une des voix les plus fortes en faveur de la flexibilité du télétravail lorsqu'ils ne se sentent pas au meilleur de leur forme sans pour autant être incapables de travailler. Cela leur permet de concilier gestion de leur charge de travail et repos indispensable.

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Le stigma des congés maladie -

La génération Z travaille à normaliser les congés maladie en parlant ouvertement de la santé sur le lieu de travail. La transparence est cruciale pour eux, et à la différence des générations précédentes, ils militent pour une culture professionnelle plus authentique et honnête.

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Paresse -

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L'économie -

Dans un monde où les difficultés économiques sont presque devenues la norme, la génération Z a pris position pour ne pas se surcharger sans une compensation adéquate.

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Qualité vs quantité -

La génération Z redéfinit le rapport entre travail et santé en privilégiant la qualité du travail plutôt que la quantité d'heures travaillées. Selon eux, s'accorder du repos lorsqu'on est malade permet d'améliorer la performance une fois rétabli.

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Empathie -

Alors que la plupart des environnements professionnels restent focalisés sur les résultats, la génération Z promeut une culture de l'empathie au travail. Ils croient que le soutien et la compréhension des employeurs et des collègues créent une équipe plus motivée, où le bien-être de tous passe avant tout.

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Changements de politique -

La génération Z ne se contente pas réclamer des changements sur leurs lieux de travail, elle plaide aussi pour des réformes sociétales plus larges sur la gestion et la perception des congés maladie. Ils soutiennent des politiques assurant à tous les travailleurs un accès aux congés maladie payés, conscients que cela est crucial pour la santé publique.

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Aux États-Unis -

Aux États-Unis par exemple, les employés reçoivent généralement une heure de congé maladie pour chaque tranche de 30 heures travaillées. Cela équivaut à environ une heure par semaine de travail à temps plein, étant donné que la durée hebdomadaire moyenne de travail est d'environ 36,4 heures.

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Vacances -

À mesure que la génération Z fait son entrée sur le marché du travail aux États-Unis, elle revendique davantage de jours de congé maladie, puisque les congés payés ne sont pas imposés au niveau fédéral. La plupart des employeurs américains n'accordent à leurs employés que huit jours de vacances en moyenne.

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Anxiété et burn-out -

Depuis la pandémie de COVID-19, les études révèlent une augmentation marquée de l'anxiété et du burn-out en milieu professionnel, surtout chez la génération Z.

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Physique vs mental -

Les notions traditionnelles de congé maladie se limitent généralement aux maladies physiques, mais la génération Z a redéfini cette approche en y intégrant la santé mentale. De plus en plus de salariés prennent des jours de repos pour faire face au stress, à l'anxiété et au burn-out.

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Élargissement des motifs -

Les motifs de congé maladie se sont diversifiés, la santé mentale devenant désormais un facteur majeur Cela s'explique notamment par la meilleure compréhension des maladies mentales et du cerveau humain par les experts.

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Loyauté entre employeur et employé -

Avec la multiplication des gros titres sur les licenciements et l'insécurité de l'emploi à travers le monde, les jeunes travailleurs sont moins enclins à faire des sacrifices pour leur carrière et privilégient plutôt leur santé et leur sécurité à long terme.

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Toujours disponible -

La pression d'être toujours disponible et la valorisation du surmenage sont des traits toxiques dans certaines cultures à travers le monde. Avec la technologie, il devient difficile pour les employés de se déconnecter complètement, et beaucoup prennent des "vacances discrètes", où ils continuent à travailler pendant leurs congés.

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Insécurité de l'emploi -

L'insécurité de l'emploi peut également pousser les employés à travailler malgré la maladie. Ceux qui craignent pour leur poste se sentent souvent obligés de continuer à travailler même malades, afin de prouver leur engagement envers leur employeur.

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Présence -

L'un des défis de l'approche de la génération Z est que les employeurs peuvent garder en mémoire les employés qui prennent fréquemment des congés, ce qui peut être perçu négativement. Cela pourrait nuire aux opportunités de promotion ou à la sécurité de l'emploi, notamment si l'employé est jugé peu investi dans son travail.

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Équilibre -

Il est important de définir des frontières entre le travail et la vie personnelle, mais les employés doivent trouver un équilibre avec la sécurité de l'emploi. Des limites trop rigides pourraient mettre en danger la stabilité professionnelle.

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Déconnexion totale -

Il est également essentiel de se déconnecter complètement du travail pendant les congés afin de se ressourcer et récupérer. La connexion permanente via la technologie peut entraîner un burn-out et une baisse de productivité.

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Le "droit à la déconnexion" -

Certains pays à travers le monde ont mis en place des lois sur le "droit à la déconnexion", où les employés ne sont pas légalement tenus de répondre aux communications professionnelles en dehors des heures de travail.

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Avantages -

Malgré certains risques, l'approche de la génération Z concernant l'équilibre entre travail et vie personnelle, ainsi que la santé, pourrait engendrer des changements positifs en milieu professionnel. Cette génération pourrait bien contribuer à instaurer un environnement de travail plus durable et bénéfique pour tous.

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Le futur -

L'avenir de la culture du travail reste incertain. Employés et employeurs sont soumis à une forte pression pour concilier santé et performance. Les décisions prises dans les années à venir façonneront cet avenir.

Sources: (Business Insider) (Fortune) (Yahoo Finance)

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