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Jeux olympiques -

Les Jeux olympiques ne sont pas une organisation lucrative, dans la mesure où cela limiterait les sports présentés aux JO aux sports les plus rentables. Le large éventail de sports présentés aux JO les rendent si uniques, bien qu'ils ne soient certainement pas une manne financière pour les athlètes. 

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Bas revenus -

Les événements des Jeux olympiques sont incroyablement excitants, mais en dépit du glamour que beaucoup associent aux compétitions, ils ne riment pas avec de grandes sommes d'argent dans la poche des athlètes. À moins de gagner une médaille, vous gagnerez avec un maigre salaire pour la pratique de votre sport.

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Seuil de pauvreté -

Étonnamment, les statistiques ont montré que près de 30 % des athlètes aux États-Unis vivent sous le seuil de pauvreté. Les coûts cumulés (entraînements, soins médicaux et transport) peuvent dépasser 20 000 dollars américains par an, tandis que la plupart des athlètes gagnent près de 15 000 dollars américains annuellement. 

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Salaire -

Les athlètes olympiques ne reçoivent pas de salaire, mais ils reçoivent de l'argent d'autres activités, quoique généralement de faibles sommes. Par exemple, le plongeur britannique Jack Laugher a déclaré que bien qu'il soit un des meilleurs plongeurs au monde, les fonds alloués pour la pratique de son sport ne sont que 36 000 dollars par an.

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Prix d'une médaille -

Gagner une médaille aux JO peut s'avérer incroyablement lucratif pour un athlète, en fonction du pays qu'il représente. Les États-Unis offrent 37 000 dollars américains aux médaillés d'or, tandis que des pays tels que le Maroc et la Serbie récompensent les médaillés d'or avec 200 000 dollars. 

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Prix -

Certains pays offrent en plus des sommes d'argent, des prix. En Pologne, tous les médaillés reçoivent un diamant, un séjour et une œuvre d'art tandis que les médaillés d'or se voient en plus offrir un appartement. 

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Avantages en nature -

Aux États-Unis, les athlètes olympiques profitent traditionnellement d'une levée de leurs taxes, d'une mutuelle premium et même d'une bourse universitaire.

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Récompense pour la qualification -

Il est intéressant de noter que l'haltérophile irakien Ali Ammar Yasar Al-Rabai a reçu un terrain en guise de récompense pour simplement s'être qualifié aux Jeux de Paris 2024. Les membres de l'équipe de football irakienne qui a joué aux Jeux de Paris ont reçu la même récompense. 

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Top 3 -

Les récompenses olympiques sont remportées par les athlètes qui parviennent à en gagner une, mais tous les athlètes ne peuvent pas monter sur le podium, alors que c'est là que le plus grand des récompenses se trouve. Mais, les athlètes gagnent-ils de l'argent même sans remporter de médailles ? 

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Sponsors et publicité -

Les athlètes olympiques gagnent généralement de coquettes sommes d'argent des sponsors et des publicités avec de grandes marques en mettant en avant leurs produits ou leurs services. Le problème est que seulement 5 % des athlètes se voient offrir ce genre de propositions, tandis que la plupart des athlètes vivent chèque après chèque. 

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Lucratif -

Pour des athlètes comme Katie Ledecky et Simone Biles, les offres publicitaires sont particulièrement lucratives puisque leurs partenariats leur rapportent des millions de dollars. Simone Biles a gagné près de 7 millions de dollars américains suite à ces partenariats publicitaires de 2023. 

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Salaire -

Certains pays et leur Comité olympique national soutiennent financièrement leurs athlètes. Cela dépend simplement de la volonté du pays, mais ce soutien aide les athlètes à assumer leurs frais.

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Bourse d'étude et subventions -

Diverses organisations offrent des subventions et des bourses d'étude pour soutenir les athlètes, qui sont souvent le seul revenu des athlètes dans la mesure où leurs entraînements et leurs voyages leur coûtent énormément d'argent. 

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Entraînement personnel -

Les athlètes olympiques retraités ou en activité sont connus pour proposer des séances de coaching et d'entraînement. Après tout, les athlètes disposent d'un savoir unique, un savoir qui leur permet de fixer des honoraires coûteux pour que les gens puissent s'entraîner à leurs côtés. 

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Réseaux sociaux - À mesure que la technologie et les réseaux sociaux gagnent en succès, certains athlètes olympiques ont monétisé leurs réseaux sociaux et leur présence en ligne pour gagner de l'argent supplémentaire. Les influenceurs sur TikTok et sur YouTube peuvent gagner, en moyenne, 6 000 dollars par mois.

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Biographies et ventes de livres -

Écrire des autobiographies ou des livres au sujet de leur parcours, de leur régime alimentaire et des leçons apprises peut être lucratif pour les athlètes. Les maisons d'édition proposent généralement des sommes intéressantes aux athlètes, et les ventes de livre peuvent offrir un salaire stable. 

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Médias et émissions -

Après leur départ à la retraite, de nombreux athlètes olympiques deviennent consultants sportifs ou commentateurs pour des événements sportifs. Ces postes peuvent être bien payés et permettent aux athlètes de rester connecté à leur sport tout en gagnant leur vie. 

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Prise de parole en public -

Les athlètes olympiques sont souvent appelés pour faire des discours inspirants. Leur parcours de persévérance, leur dévouement et leur succès résonne chez de nombreuses personnes, et ils peuvent gagner d'alléchants chèques en échange de ces prises de parole.  

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Apparitions -

Les athlètes olympiques couronnés de succès reçoivent souvent de l'argent en échange de leur apparition ou de leur participation à des événements ou à des activités promotionnelles. Les sommes peuvent être assez conséquentes, bien qu'elles soient réservées aux sportifs les plus populaires. 

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Commercialisation -

Certains athlètes olympiques créent leur propre marque pour gagner de l'argent supplémentaire, en commercialisant leurs produits, tels que des vêtements, des équipements sportifs ou des compléments alimentaires.  

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Travail alimentaire -

Plutôt que de trouver des sponsors ou de faire des campagnes publicitaires, certains athlètes olympiques ont un autre métier (voire plusieurs) pour survivre. Dans le cas d'Angel McCoughtry, une athlète de l'équipe de basketball américaine, elle joue avec la WNBA et possède un magasin de glace à Atlanta, en Géorgie. 

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Intérim -

La boxeuse américaine, Morelle McCane, a déclaré qu'elle faisait quelques jobs d'intérim (par exemple, être clown à des fêtes d'anniversaire ou être coursière) pour pouvoir se permettre de se rendre aux Jeux de Paris. 

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Ingéniérie -

Le nageur médaillé Nic Fink et le champion d'escalade Jesse Grupper (sur la photo) ont des métiers d'ingénieur dans leur vie de tous les jours. 

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Sites et apps pour adultes - De nombreux athlètes sont également connus pour avoir rejoint des sites connus et olé-olé, dans lesquels ils partagent un contenu non explicite pour leurs fans. Au vu du physique de certains athlètes, ce genre de site et d'app est un moyen facile de gagner de l'argent.

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Salvateur -

Ces sites et ces apps peuvent s'avérer salvateurs pour les athlètes olympiques retraités. La patineuse de vitesse en piste courte britannique, Elise Christie a déclaré que l'application a "sauvé sa vie" après qu'elle a eu des difficultés financières qui lui ont fait perdre sa maison malgré le fait qu'elle cumulait trois boulots. 

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Changement de perspective - De nombreux athlètes ont déclaré qu'ils affectionnaient ces sites/applis en raison de leur capacité à interagir avec des gens qui sont sincèrement curieux de leur routine alimentaire et sportive. C'est une simple question de perspective.

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Publicité -

Les athlètes olympiques de 2024 sont apparus dans de nombreux spots publicitaires, même certaines qui n'ont rien à voir avec le sport. La golfeuse américaine Nelly Kora a déjà gagné plus de 3 millions de dollars en 2024 et jusqu'à présent grâce à des collaborations publicitaires avec Delta Airlines etT-Mobile. 

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Popularité du basketball -

Tandis que de nombreux athlètes peinent à boucler les fins de mois alors qu'ils s'affrontent à Paris, d'autres athlètes n'ont pas de souci à se faire. Le célèbre joueur de basketball, LeBron James, est le seul milliardaire à participer aux Jeux de Paris 2024, et la majorité de ses revenus découlent de ses partenariats publicitaires. 

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Droits médiatiques -

À chaque nouvel événement olympique, le Comité international olympique (CIO) vend les droits de diffusion dans le monde entier. Le CIO utilise généralement cet argent pour soutenir les Comités nationaux olympiques et les fédérations internationales pour les aider à financer leurs athlètes. 

Sources : (Ranker) (Forbes) (New York Post) (CNN) (HuffPost UK) (NBC)

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