Passeriez-vous ce test de mariage des années 1930 ? -

George W. Crane était un auteur, un conférencier, un éducateur, un psychologue et un docteur en médecine. En outre, il a dirigé un cabinet de conseil et un service d'entremetteurs dans les années 1930. En d'autres termes, il était très apprécié à son époque en tant qu'expert en relations amoureuses. Ses travaux ont abouti à la création d'un test conjugal, conçu pour aider les maris et les femmes à évaluer leur état de santé ou celui de leur partenaire dans le mariage, et à déterminer les points à améliorer.

Naturellement, comme beaucoup de choses ont changé depuis l'étiquette des années 1930, les normes pour les couples mariés étaient très différentes à l'époque, et presque risibles. Cliquez sur cette galerie pour voir un échantillon de son test et découvrir comment vous et votre partenaire vous en seriez sortis.

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Les mérites -

Chaque tableau était accompagné d'une liste de choses pour lesquelles vous pouviez recevoir des points de mérite ou de démérite. À la fin, vous devez soustraire votre score de démérite de votre score de mérite, et plus le nombre est élevé, meilleur est le partenaire. Voici quelques mérites pour les hommes.

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Les mérites du mari: il accorde à sa femme une allocation généreuse ou lui remet son chèque de paie -

Cette action généreuse vous rapportera cinq points de mérite !

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Il fait des compliments fréquents à l'égard de sa femme -

Le tableau donne des exemples de compliments concernant l'apparence, la cuisine, le ménage, etc., et offre aux hommes cinq points pour ces mots doux.

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Il se souvient des anniversaires et autres dates importantes -

Encore cinq points de mérite pour la mémoire simple !

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C'est un amant ardent qui veille à ce que sa femme atteigne l'0rgasme lors du congrès conjugal -

Celui-ci permettrait aux hommes d'obtenir 20 points bien mérités !

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Il est courtois envers les ami.e.s de sa femme -

Les ami.e.s de votre partenaire peuvent encore être un sujet délicat aujourd'hui, mais si le mari était gentil avec les ami.e.s de sa femme, il gagnerait un point de mérite.

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Il aide à faire la vaisselle, à s'occuper des enfants, à récurer -

Il est écrit "aide à", car on supposait que cette tâche était dévolue aux femmes.

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Il est poli et courtois, même lorsqu'il est seul avec sa femme -

La seconde moitié de cette phrase est un peu inquiétante.

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Il sortir avec sa femme au moins une fois par semaine - Si vous avez plus d'un rendez-vous avec votre femme par semaine, vous pouvez accumuler cinq points de mérite par rendez-vous.

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Il lit le journal, des livres ou des magazines à haute voix à sa femme -

Parce qu'elle ne peut pas lire ?

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Il travaille régulièrement et est un bon pourvoyeur -

Le devoir de subvenir aux besoins de la famille est lourd à porter pour les hommes, mais il leur rapporte au moins cinq points ?

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Les démérites du mari: il regarde ou flirte avec d'autres femmes lorsqu'il sort avec sa femme -

Cela vous coûterait cinq points d'inaptitude, et aujourd'hui cela peut vous coûter encore plus.

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Il fait publiquement l'éloge de sa vie de célibataire et regrette de s'être marié -

L'audace de regretter son mariage à haute voix en public n'est étonnamment qu'un point de démérite.

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Il lit le journal à table -

À moins qu'il ne le lise à sa femme ?

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Il ne se met pas à table rapidement lorsque le repas est prêt -

On supposait également que les épouses avaient toujours des repas prêts à temps.

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Il amène des invités à la maison pour les repas sans prévenir son épouse -

Ils ne pouvaient pas se contenter de commander des plats à emporter pour répondre aux besoins des bouches supplémentaires !

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Il ne téléphone pas lorsqu'il est en retard pour dîner -

Ce démérite perdure encore aujourd'hui.

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Il compare sa femme à sa mère ou à d'autres femmes de manière défavorable -

C'est une expérience cruelle pour une femme, qui vaudrait au mari cinq points de démérite.

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Il critique sa femme en public -

Il n'est pas précisé s'il s'agit d'un acte en privé, mais en public, cela coûterait cinq points d'inaptitude.

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Il laisse les tiroirs de la commode ouverts -

Il s'agit toujours d'un des arguments hilarants et mesquins que seuls les gens mariés ont.

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Il ronfle -

Il n'y avait pas grand-chose à faire dans les années 30.

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Les mérites de l'épouse: c'est une bonne hôtesse, même pour les invités inattendus -

Bien qu'il reçoive des points de démérite pour ses invités inattendus, l'épouse est censée être une bonne hôtesse.

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Elle porte une robe pour le petit-déjeuner -

Pas de petits déjeuners en pyjama pour les épouses !

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Elle a une maison en ordre -

Pour avoir gardé les choses propres et bien rangées, les épouses ont obtenu un point de mérite.

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Elle peut jouer d'un instrument de musique -

Le tableau précise un instrument comme le piano ou le violon. L'apprentissage de cet instrument ne rapporte aux femmes qu'un point de mérite.

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Elle peut tenir une conversation intéressante -

Des conditions intéressantes, on peut le deviner.

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Elle met les enfants au lit personnellement -

En se faisant, les épouses ont gagné un point de mérite.

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Elle ne se couche jamais fâchée, se réconcilie toujours en premier -

Si tu ravales ta fierté et que tu es toujours le premier à t'excuser, tu gagneras cinq points de mérite.

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Elle réagit avec plaisir et délectation au congrès conjugal -

Pour avoir aimé le sexe, ou du moins avoir eu l'air d'aimer le sexe, elle recevait 10 points.

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Religieuse, elle envoie ses enfants à l'église ou à l'école du dimanche et se rend elle-même à l'église -

Les femmes obtiendraient un total de 10 points pour ce point.

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Elle permet à son mari de dormir tard le dimanche et les jours fériés -

Alors qu'elle s'habille, prépare le petit-déjeuner, fait le ménage et emmène les enfants à l'église, elle n'est pas non plus censée faire du bruit pour que son mari puisse faire la grasse matinée.

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Les démérites de l'épouse: elle n'aime pas les enfants -

Il s'agit d'un ajout intéressant, car le tableau partait largement du principe qu'un couple marié avait déjà des enfants. Quoi qu'il en soit, cela vous coûterait cinq points de démérite.

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Elle est lente à se mettre au lit - retarde jusqu'à ce que son mari soit presque endormi -

En d'autres termes, si la femme évite le congrès conjugal, elle obtient un point de démérite.

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Elle n'arrive pas à coudre les boutons ou à repriser les chaussettes régulièrement -

Peu de femmes savent le faire aujourd'hui, mais c'était ce qu'on attendait d'une épouse dans les années 30.

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Elle porte du vernis à ongles rouge -

Le vernis à ongles rouge était clairement le signe d'un défaut de caractère plus profond qui ne convenait absolument pas à une épouse.

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Elle est souvent en retard aux rendez-vous -

Il faut qu'elle soit belle, mais si cela prend trop de temps, cela lui coûtera cinq points d'inaptitude.

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Les coutures de ses collants sont souvent tordues -

Oui, si la couture de vos bas de nylon ne descendait pas tout droit le long de votre jambe, on considérait que cela faisait partie des mauvaises habitudes de la femme.

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Elle va au lit avec des bigoudis sur les cheveux ou beaucoup de crème pour le visage -

Il fallait être belle pour le petit déjeuner du lendemain, mais aussi séduisante pour tout le congrès conjugal.

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La nuit, elle met ses pieds froids sur son mari pour les réchauffer -

Aujourd'hui, cela vous vaudra peut-être un cri et un rire, mais à l'époque, c'était une offense à votre partenariat.

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C'est une mouche de coche -

En règle générale, les femmes n'étaient pas censées conduire, mais elles ne pouvaient pas non plus commenter ou critiquer les actions et les décisions du conducteur.

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Elle flirte avec d'autres hommes lors de fêtes ou au restaurant -

Il est intéressant de noter que les maris reçoivent cinq points de démérite s'ils flirtent spécifiquement devant leur femme, mais que les femmes reçoivent cinq points de démérite si elles flirtent tout court.

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