© Getty Images

La langue aïnou d'Hokkaido au Japon -

L'aïnou, autrefois répandu à Hokkaido, est aujourd'hui en voie d'extinction et ne compte plus que quelques locuteurs âgés. Les efforts de renaissance se concentrent sur l'éducation et le renforcement culturel.

© Getty Images

Le live en Lettonie -

En danger critique d'extinction, le live compte moins de 40 locuteurs. Originaire de la côte lettone, sa préservation repose sur des programmes culturels et des cours de langue.

© Getty Images

Le chamicuro au Pérou -

Avec moins de 10 locuteurs âgés, le chamicuro est en voie d'extinction. Le déclin de cette langue amazonienne est dû à l'assimilation à la société hispanophone.

© Shutterstock

Le wichí, weenhayek ou encore wichí lhamtés, noctenes, matahuayo en Argentine -

Appartenant à la communauté Wichí, cette langue connaît un déclin chez les jeunes, qui préfèrent parler espagnol. Les efforts de préservation incluent l'éducation bilingue.

© Shutterstock

Le dumi au Népal -

Parlé dans l'est du Népal, le dumi est en voie de disparition et compte moins d'une douzaine de locuteurs. Le passage de la jeune génération au népali menace son existence, et peu d'efforts sont faits pour le faire revivre.

© Shutterstock

L'ongota ou birale en Éthiopie -

L'ongota, une langue presque disparue en Éthiopie, ne compte qu'une poignée de locuteurs. Il s'agit d'une langue unique dont l'appartenance linguistique n'est pas claire, ce qui souligne l'urgence de sa préservation.

© Shutterstock

Le ts’ixa au Botswana -

Le ts'ixa, une langue khoe du Botswana, est en voie de disparition et compte peu de locuteurs. Sa survie dépend des efforts de la communauté pour maintenir son patrimoine linguistique.

© Shutterstock

Le chemehuevi aux États-Unis -

Originaire du fleuve Colorado, le chemehuevi compte moins de 10 locuteurs. Les efforts de préservation comprennent des programmes éducatifs visant à faire revivre cette langue uto-aztèque.

© Shutterstock

Le kawésqar au Chili -

Avec moins de 20 locuteurs, le kawésqar, originaire du sud du Chili, est en danger critique d'extinction. Sa survie dépend d'initiatives culturelles et éducatives.

© Shutterstock

Le pitcairnais sur les Îles Pitcairn -

Le pitcairnais, langue créole du Pacifique Sud, compte moins de 50 locuteurs. Son mélange unique d'éléments anglais et tahitiens reflète une riche histoire culturelle.

© Shutterstock

Le tanema ou tetawo sur les îles Salomon -

Avec un seul locuteur connu, la survie du tanema est critique. Son déclin est dû à l'évolution vers des langues régionales plus dominantes.

© Shutterstock

Le liki en Indonésie -

Le liki, parlé dans une petite région d'Indonésie, est menacé d'extinction avec moins de 20 locuteurs. Les efforts de la communauté sont essentiels à sa préservation.

© Shutterstock

Le toto en Inde -

Originaire d'une petite région de l'Inde, le toto est en voie de disparition et compte environ 1 000 locuteurs. Sa préservation est remise en cause par la domination des langues régionales.

© Shutterstock

Le darling ou paakantyi en Australie -

Autrefois très répandu le long de la rivière Darling, le Paakantyi compte aujourd'hui moins de 10 locuteurs. Les efforts de revitalisation comprennent des cours de langue et des programmes culturels.

© Shutterstock

Le yuchi ou euchee aux États-Unis -

Avec moins de 10 locuteurs âgés, la langue yuchi est en danger critique d'extinction. Des efforts pour documenter et enseigner la langue sont en cours afin de préserver ce patrimoine linguistique unique.

© Shutterstock

Le sentinelle sur les îles Andaman -

Pratiquement inconnue du monde extérieur, la langue sentinelle est parlée par la tribu isolée des Sentinelles. Son statut reste un mystère en raison des contacts limités de la tribu avec les étrangers.

© Shutterstock

Le n|uu en Afrique du Sud -

Il s'agit de l'une des dernières langues à clics. Le n|uu compte moins de 10 locuteurs. Les efforts pour la préserver comprennent des projets d'enregistrement et l'enseignement aux plus jeunes membres de la communauté san.

© Shutterstock

L'apiaká au Brésil -

L'apiaká, une langue indigène du Brésil, est en voie d'extinction et ne compte plus que quelques locuteurs âgés. Les efforts de préservation sont minimes en raison des ressources limitées.

© Shutterstock

Le kansa aux États-Unis -

Autrefois parlée par la tribu des Kansa, cette langue siouane n'a plus aucun locuteur courant connu. Les efforts pour la faire revivre passent par la reconstitution de la langue à partir de documents historiques.

© Shutterstock

Le vote en Russie -

Avec moins de 10 locuteurs, pour la plupart âgés, cette langue finno-ougrienne est en danger critique d'extinction. Parlée dans les communautés rurales russes, sa survie dépend des efforts de revitalisation.

© Shutterstock

L'aka-bo sur les îles Andaman -

L'aka-bo, autrefois parlé dans les îles Andaman, est aujourd'hui considéré comme éteint suite au décès du dernier locuteur connu en 2010.

© Shutterstock

Le tehuelche en Argentine -

Avec moins de 10 locuteurs, le tehuelche est en danger critique d'extinction. Originaire de Patagonie, des efforts sont actuellement déployés pour documenter et faire revivre cette langue.

© Shutterstock

L'eyak en Alaska, aux États-Unis -

L'eyak s'est éteint en 2008 avec le décès de son dernier locuteur natif. Les efforts se poursuivent pour faire revivre la langue grâce à des projets d'enseignement et de documentation.

© Shutterstock

Le mannois sur l'île de Man -

Le manx ou mannois, langue celtique, a connu un renouveau après avoir été déclarée langue éteinte dans les années 1970. Grâce à un regain d'intérêt, elle compte aujourd'hui des centaines de locuteurs en seconde langue et est enseignée dans les écoles. C'est un exemple encourageant de la renaissance réussie d'une langue.

© Shutterstock

L'oubykh en Turquie -

Disparu depuis 1992, l'oubykh était autrefois parlé dans le Caucase. Connu pour son large inventaire de consonnes, la mort de son dernier locuteur natif a marqué sa fin, bien que les efforts de documentation se poursuivent.

© Shutterstock

Le grec cappadocien de Grèce et de Turquie -

Le grec cappadocien, que l'on croyait disparu, a connu une renaissance lorsque les locuteurs qui étaient passés au turc ont recommencé à l'utiliser. Il reste très menacé et ne compte qu'un petit nombre de locuteurs.

© Shutterstock

L'alabama aux États-Unis -

Parlée par la tribu Alabama-Coushatta du Texas, cette langue compte moins de 100 locuteurs. Les efforts de revitalisation comprennent des programmes éducatifs et des initiatives communautaires.

© Shutterstock

Le kaurna en Australie -

Autrefois considéré comme éteint, le kaurna, originaire des plaines d'Adélaïde, connaît un renouveau grâce aux efforts de la communauté et des universités, notamment en matière de cours de langue et de développement des ressources.

© Shutterstock

Le gothique de l'Europe médiévale -

Autrefois très répandu en Europe, le gothique a aujourd'hui disparu. Son héritage survit dans les textes historiques, offrant un aperçu des premières langues germaniques.

© Shutterstock

Le patwin aux États-Unis -

Parlé par les populations indigènes du nord de la Californie, le patwin a peu de locuteurs qui parlent couramment cette langue. Les efforts pour faire revivre la langue se traduisent par des programmes éducatifs et des recherches linguistiques.

Sources : (UNESCO Digital Library) (Preply) (Endangered Languages Project)

Découvrez aussi : La barrière de la langue s'applique-t-elle à l'amour ?

© Shutterstock