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Un lien direct cerveau-corps
- Le nerf vague est un nerf crânien qui transmet des signaux entre le cerveau et diverses parties du cou, de la tête et du torse.
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Localisation
- Chaque côté du corps possède un nerf vague. Partant du tronc cérébral, il traverse le cou avant d’atteindre la poitrine et l’abdomen.
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Stimulation du nerf vague
- La stimulation du nerf vague (VNS) est une technique de neuromodulation qui modifie l’activité des nerfs.
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Implant électrique
- Elle consiste à implanter un dispositif qui envoie des impulsions électriques douces et régulières au tronc cérébral via le nerf vague.
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Signal au cerveau
- Une fois dans le cerveau, la charge électrique se diffuse vers différentes zones pour modifier l’activité des cellules.
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L'épilepsie
- La VNS est approuvée en certains endroits pour traiter plusieurs affections médicales, dont l’épilepsie.
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L'épilepsie
- Elle est utilisée comme thérapie complémentaire pour l’épilepsie résistante aux traitements chez les adultes et les enfants de plus de quatre ans.
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La dépression
- La VNS est également approuvée pour traiter la dépression majeure chronique ou récurrente chez l’adulte.
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La dépression
- Pour bénéficier de la VNS, un patient dépressif doit avoir essayé plusieurs traitements antidépresseurs sans succès.
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L'AVC ischémique
- Plus récemment, la VNS a été approuvée comme complément à la rééducation après un AVC ischémique.
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L'AVC ischémique
- En rééducation post-AVC, la VNS aide à retrouver l’usage du bras et de la main après une perte modérée ou même sévère.
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Mécanisme de la VNS
- Son fonctionnement exact reste inconnu, mais en traitement des crises, la VNS améliorerait le flux sanguin vers des zones clés du cerveau.
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Traitement de l'épilepsie
- La VNS modifierait l’activité électrique chaotique des crises et augmenterait les neurotransmetteurs impliqués dans leur régulation.
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Traitement de la dépression
- Dans le traitement de la dépression, la VNS agirait sur certains neurotransmetteurs impliqués dans la régulation de l’humeur.
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Rééducation post-AVC
- Pour la rééducation post-AVC, la VNS stimulerait la zone du cortex moteur responsable du contrôle des bras et des mains.
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Discrétion de l'appareil
- En général, les personnes équipées d'un dispositif VNS ne perçoivent pas sa mise en marche ni la stimulation qu’il provoque.
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Effets secondaires possibles
- Cependant, certains effets secondaires peuvent survenir, tels qu'une sensation de chatouillement dans la gorge ou le cou.
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Autres effets secondaires
- Il est également possible de devenir enroué ou de souffrir d'une légère toux lorsque la stimulation est activée.
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Risques liés à l'implantation
- Outre les effets secondaires, des risques sont également associés à la chirurgie d'implantation.
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Risques liés à l'implantation
- Les risques incluent l'infection, la douleur et l'inflammation au niveau de l'incision, ainsi que des dommages au nerf vague ou aux structures environnantes.
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Contre-indications à la VNS
- Certaines personnes ne sont pas éligibles à la VNS, notamment les femmes enceintes, celles souffrant de problèmes respiratoires ou de troubles cardiaques.
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Efficacité variable
- Les résultats de la VNS dépendent de la pathologie traitée. Pour l’épilepsie, elle ne constitue pas un remède définitif.
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Dans le cas de l'épilepsie
- Elle ne supprime pas totalement les crises, mais vise à en réduire la fréquence, la durée et l’intensité.
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Dans le cas de l'épilepsie
- Une étude portant sur 454 patients a montré une réduction d’au moins 50 % des crises chez 37 % d’entre eux après un an. Ce taux est passé à 43 % après deux ans et s’est maintenu après trois ans.
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Dans le cas de la dépression
- Les recherches n’ont pas encore déterminé l’efficacité de la VNS contre la dépression, ce qui explique son utilisation en dernier recours.
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Dans le cas de la dépression
- Une étude sur 200 patients atteints de dépression résistante aux traitements a montré une amélioration significative chez 20 à 30 % d’entre eux après un an.
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Dans le cas de la dépression
- Cependant, les autres participants n’ont constaté aucune amélioration, voire une aggravation de leurs symptômes.
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Dans le cas de l'AVC
- L’approbation de la VNS pour la rééducation post-AVC repose sur une étude menée auprès de 108 patients.
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Dans le cas de l'AVC
- L’étude a montré que les patients ayant reçu la VNS ont connu une meilleure récupération motrice que ceux ne l’ayant pas reçue.
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Nouvelles pistes
- Les chercheurs explorent l’utilisation de la VNS pour traiter des maladies inflammatoires chroniques comme la polyarthrite rhumatoïde, le diabète et le syndrome de l’intestin irritable. Sources: (Cleveland Clinic) (Mayo Clinic) Découvrez aussi : Votre système nerveux est-il déréglé ?
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Un lien direct cerveau-corps
- Le nerf vague est un nerf crânien qui transmet des signaux entre le cerveau et diverses parties du cou, de la tête et du torse.
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Localisation
- Chaque côté du corps possède un nerf vague. Partant du tronc cérébral, il traverse le cou avant d’atteindre la poitrine et l’abdomen.
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Stimulation du nerf vague
- La stimulation du nerf vague (VNS) est une technique de neuromodulation qui modifie l’activité des nerfs.
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Implant électrique
- Elle consiste à implanter un dispositif qui envoie des impulsions électriques douces et régulières au tronc cérébral via le nerf vague.
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Signal au cerveau
- Une fois dans le cerveau, la charge électrique se diffuse vers différentes zones pour modifier l’activité des cellules.
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L'épilepsie
- La VNS est approuvée en certains endroits pour traiter plusieurs affections médicales, dont l’épilepsie.
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L'épilepsie
- Elle est utilisée comme thérapie complémentaire pour l’épilepsie résistante aux traitements chez les adultes et les enfants de plus de quatre ans.
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La dépression
- La VNS est également approuvée pour traiter la dépression majeure chronique ou récurrente chez l’adulte.
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La dépression
- Pour bénéficier de la VNS, un patient dépressif doit avoir essayé plusieurs traitements antidépresseurs sans succès.
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L'AVC ischémique
- Plus récemment, la VNS a été approuvée comme complément à la rééducation après un AVC ischémique.
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L'AVC ischémique
- En rééducation post-AVC, la VNS aide à retrouver l’usage du bras et de la main après une perte modérée ou même sévère.
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Mécanisme de la VNS
- Son fonctionnement exact reste inconnu, mais en traitement des crises, la VNS améliorerait le flux sanguin vers des zones clés du cerveau.
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Traitement de l'épilepsie
- La VNS modifierait l’activité électrique chaotique des crises et augmenterait les neurotransmetteurs impliqués dans leur régulation.
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Traitement de la dépression
- Dans le traitement de la dépression, la VNS agirait sur certains neurotransmetteurs impliqués dans la régulation de l’humeur.
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Rééducation post-AVC
- Pour la rééducation post-AVC, la VNS stimulerait la zone du cortex moteur responsable du contrôle des bras et des mains.
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Discrétion de l'appareil
- En général, les personnes équipées d'un dispositif VNS ne perçoivent pas sa mise en marche ni la stimulation qu’il provoque.
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Effets secondaires possibles
- Cependant, certains effets secondaires peuvent survenir, tels qu'une sensation de chatouillement dans la gorge ou le cou.
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Autres effets secondaires
- Il est également possible de devenir enroué ou de souffrir d'une légère toux lorsque la stimulation est activée.
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Risques liés à l'implantation
- Outre les effets secondaires, des risques sont également associés à la chirurgie d'implantation.
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Risques liés à l'implantation
- Les risques incluent l'infection, la douleur et l'inflammation au niveau de l'incision, ainsi que des dommages au nerf vague ou aux structures environnantes.
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Contre-indications à la VNS
- Certaines personnes ne sont pas éligibles à la VNS, notamment les femmes enceintes, celles souffrant de problèmes respiratoires ou de troubles cardiaques.
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Efficacité variable
- Les résultats de la VNS dépendent de la pathologie traitée. Pour l’épilepsie, elle ne constitue pas un remède définitif.
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Dans le cas de l'épilepsie
- Elle ne supprime pas totalement les crises, mais vise à en réduire la fréquence, la durée et l’intensité.
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Dans le cas de l'épilepsie
- Une étude portant sur 454 patients a montré une réduction d’au moins 50 % des crises chez 37 % d’entre eux après un an. Ce taux est passé à 43 % après deux ans et s’est maintenu après trois ans.
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Dans le cas de la dépression
- Les recherches n’ont pas encore déterminé l’efficacité de la VNS contre la dépression, ce qui explique son utilisation en dernier recours.
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25 / 31 Fotos
Dans le cas de la dépression
- Une étude sur 200 patients atteints de dépression résistante aux traitements a montré une amélioration significative chez 20 à 30 % d’entre eux après un an.
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26 / 31 Fotos
Dans le cas de la dépression
- Cependant, les autres participants n’ont constaté aucune amélioration, voire une aggravation de leurs symptômes.
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Dans le cas de l'AVC
- L’approbation de la VNS pour la rééducation post-AVC repose sur une étude menée auprès de 108 patients.
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Dans le cas de l'AVC
- L’étude a montré que les patients ayant reçu la VNS ont connu une meilleure récupération motrice que ceux ne l’ayant pas reçue.
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Nouvelles pistes
- Les chercheurs explorent l’utilisation de la VNS pour traiter des maladies inflammatoires chroniques comme la polyarthrite rhumatoïde, le diabète et le syndrome de l’intestin irritable. Sources: (Cleveland Clinic) (Mayo Clinic) Découvrez aussi : Votre système nerveux est-il déréglé ?
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Stimulation du nerf vague : un traitement révolutionnaire ?
Promesses et limites d’une technique en pleine évolution
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La stimulation du nerf vague est une technique de neuromodulation qui agit directement sur les cellules du cerveau. Elle repose sur l’implantation chirurgicale d’un dispositif qui envoie des impulsions électriques le long du nerf vague. Aujourd’hui, cette approche est utilisée pour traiter l’épilepsie, la dépression, ou encore les troubles de la mobilité causés par un AVC ischémique. Toutefois, elle n’est envisagée qu’en dernier recours, lorsque les autres traitements ont échoué.
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