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Un des cancers les plus meurtriers -

Le cancer du poumon est le deuxième type de cancer le plus fréquent dans le monde, juste derrière le cancer du sein. Aux États-Unis, c'est le premier type de cancer, tous sexes confondus.

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Des dommages importants -

Le cancer du poumon est également beaucoup plus dangereux que les autres formes de cancer, avec un taux de mortalité beaucoup plus élevé. En moyenne, le cancer du poumon tue trois fois plus de personnes que le cancer du sein ou de la prostate.

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Combien de personnes sont touchées ? -

Selon le Fonds mondial de recherche sur le cancer, environ 2,2 millions de personnes dans le monde étaient atteintes d'un cancer du poumon en 2020, et 1,7 million de personnes en sont mortes la même année.

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Combien de diagnostics sont posés tous les ans ? -

Rien qu'aux États-Unis, les experts prévoient que 237 000 personnes seront diagnostiquées avec un cancer du poumon d'ici à la fin de 2022.

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Qui a le plus de risque d'être touché ? -

La probabilité de développer un cancer du poumon est liée à de nombreux facteurs de risque. La plupart des personnes atteintes d'un cancer du poumon ont plus de 60 ans et ont des antécédents de tabagisme.

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L'âge -

Avec l'âge, on devient plus vulnérable à toutes sortes de cancers, et le cancer du poumon ne fait pas exception à la règle. Il devient de plus en plus important de contrôler ses poumons à mesure que l'on vieillit, surtout si l'on est fumeur ou si l'on passe du temps à proximité de produits chimiques toxiques.

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Le taux de survie -

Le cancer du poumon est de loin la forme de cancer la plus meurtrière au monde, représentant un quart de tous les décès liés au cancer dans le monde. Le cancer du poumon tue plus que les cancers du côlon, du sein et de la prostate réunis. Le taux de survie au cancer du poumon n'est estimé qu'à 17 %.

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Des statistiques surprenantes -

Historiquement, les hommes ont toujours été plus exposés au risque de développer un cancer du poumon que les femmes, et même si c'est toujours le cas, la situation évolue rapidement. Au cours des quatre dernières décennies, les diagnostics chez les hommes ont chuté de 29 %, tandis que les diagnostics chez les femmes ont connu une hausse vertigineuse de 102 %.

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Une détection compliquée -

Le cancer du poumon est également l'un des types de cancer les plus insaisissables, ce qui ne fait qu'augmenter son taux de mortalité. Seuls 15 % environ des cas de cancer du poumon sont détectés aux premiers stades.

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Un déclin rapide -

Une fois que le cancer du poumon est fermement établi dans les poumons, les personnes qui en souffrent voient leur santé décliner rapidement. Plus de 50 % des patients atteints d'un cancer du poumon décèdent avant le premier anniversaire du diagnostic.

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Quels sont les symptômes ? -

S'il est vrai que le cancer du poumon est difficile à détecter à temps, certains symptômes peuvent être observés.

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Une toux chronique -

Si votre toux refuse de disparaître et devient chronique, en particulier si elle est grave et/ou incontrôlable, il peut être judicieux de procéder à un dépistage.

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Le souffle court -

Un essoufflement inexplicable peut être un signe révélateur d'un cancer du poumon. Si vous avez du mal à respirer correctement sans pratiquer d'activité physique rigoureuse, vous devriez consulter votre médecin.

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Tousser du sang -

Si votre toux chronique commence à produire du sang, considérez cela comme un signal d'alarme majeur et consultez immédiatement un médecin.

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Une perte de poids inexpliquée -

La perte de poids est fréquente chez les personnes atteintes de toutes sortes de cancer, car les cellules cancéreuses consomment beaucoup plus d'énergie que les cellules saines. Si vous n'avez pas modifié votre régime alimentaire ou votre programme d'exercices et que vous constatez une perte de poids importante, envisagez de vous soumettre à un dépistage du cancer du poumon.

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Une fatigue chronique -

La fatigue chronique, bien qu'attribuable à de nombreuses affections, peut également être un signe révélateur du cancer. Il se peut que votre corps fasse des heures supplémentaires pour lutter contre les cellules cancéreuses et que ces dernières absorbent toute votre énergie tout au long de la journée.

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Qu'est-ce qui contribue au cancer du poumon ? -

De nombreux choix personnels et facteurs environnementaux peuvent augmenter la probabilité de développer un cancer du poumon. Certains sont plus faciles à éviter que d'autres, mais il est toujours préférable d'en être conscient.

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Le tabac tue -

Le tabagisme est de loin la principale cause du cancer du poumon. Plus de 90 % des patients atteints de cancer du poumon sont des fumeurs. Vous trouverez en ligne un calculateur de "paquets-années" qui vous permettra de déterminer si vous devez vous soumettre immédiatement à un dépistage.

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Les taux élevés de pollution -

Les personnes qui vivent dans des villes particulièrement polluées ont également beaucoup plus de risques de développer un cancer du poumon que celles qui vivent dans des villes plus propres ou dans des zones rurales où l'air est plus sain.

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L'exposition à l'amiante -

L'amiante est également réputé cancéreux lorsqu'il est inhalé. L'exposition à l'amiante doit être évitée autant que possible.

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L'exposition au radon -

Le radon est une substance chimique très nocive qui se trouve naturellement dans la terre et qui peut facilement pénétrer dans les maisons par les espaces entre les fondations et le sol. Il est très important de faire tester les niveaux de radon dans votre maison, car l'exposition au radon est souvent à l'origine du cancer du poumon.

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L'exposition à l'uranium -

L'uranium est connu pour être l'un des éléments les plus dangereux du tableau périodique. Les personnes qui travaillent dans les mines ou les raffineries d'uranium courent un risque beaucoup plus élevé de développer un cancer du poumon.

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Les particules de pollution -

La pollution particulaire est une pollution composée non seulement de gaz, mais aussi de minuscules particules de matière solide, comme la fumée d'échappement des voitures. La pollution particulaire peut être encore plus nocive pour les poumons que la pollution strictement gazeuse.

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La génétique -

Malheureusement, le cancer du poumon est également génétique. Ainsi, même si vous ménagez vos poumons tout au long de votre vie, il y a toujours un risque que des cellules cancéreuses se développent si vous avez des antécédents familiaux de cancer du poumon.

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Les traitements contre le cancer du poumon -

Le traitement du cancer a beaucoup évolué au fil des ans et, heureusement, il existe un certain nombre d'options à votre disposition.

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La chirurgie -

Si le cancer du poumon est détecté suffisamment tôt, le tissu cancéreux peut parfois être enlevé chirurgicalement sans problème.

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La chimiothérapie -

La chimiothérapie est sans doute le type de traitement du cancer le plus couramment considéré par la plupart des gens. La chimiothérapie implique un régime substantiel d'un cocktail de médicaments intraveineux qui peut faire payer un lourd tribut à l'organisme du patient. Mais elle est souvent très efficace pour combattre les cellules cancéreuses.

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La radiothérapie -

La radiothérapie est également couramment utilisée pour combattre les cellules cancéreuses. Elle peut être associée à la chimiothérapie pour donner aux patients les meilleures chances de guérison.

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La thérapie ciblée -

La thérapie ciblée du cancer est une option de traitement développée plus récemment qui utilise des médicaments pour cibler les protéines spécifiques qui contrôlent les cellules cancéreuses. Les médicaments de la thérapie ciblée peuvent être administrés par voie orale ou intraveineuse et sont généralement beaucoup moins nocifs pour les cellules saines de l'organisme que la chimiothérapie.

Sources : (DoSomething) (DoSomething) (Fondation pour la recherche sur le cancer du poumon) (American Lung Association)

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